Diferencia entre revisiones de «EL BANQUETE DE BODAS. EZTEIAK/fr»

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== L'''arreo'' et le char de noce. Eztai­gurdia ==
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Autrefois, le banquet ou la série de banquets organisés pour fêter le mariage n'avaient pas plus d'importance que ceux préparés à d'autres moments importants de la vie traditionnelle. Certains témoignages indiquent même que les agapes organisées au moment des obsèques d'un membre de la maison pouvaient dépasser, selon l'époque, tant en abondance qu'en nombre d'invités, celles organisées à l'occasion d'un mariage<ref>"La comida de entierro. Entierro-bazkaria" in ''Ritos Funerarios en Vasconia''. Atlas Etnográfico. Bilbao: 1995, pp. 533-548 et "Banquete funerario. Enterramenduko bazkaria" in ''La Alimentación Doméstica en Vasconia''. Atlas Etnográfico. Bilbao: 1990, pp. 479-480.</ref>.
  
Dans la zone hispanophone, le nom traditionnellement donné à la dot était ''arreo'', et ''arreoa'', avec diverses variantes phonétiques, dans la zone bascophone. En Vasconia continentale, on utilisait le terme de ''hatuka'' et à Liginaga (Z), de ''truzoa'' (fr. ''trousseau''). Le transfert de la dot à la nouvelle demeure était appelé ''arreoa eroatea'' à Bermeo (B) et ''dot-arreoa'' ou ''arreotea ''à Markina (B), le rite de l'entrée dans la maison, ''etxe-sartzea'' (Donoztiri­BN) et le jour où elle se produisait, ''hatukako eguna'' (Liginaga-Z).
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N'oublions pas non plus que d'autres changements d'état chez les membres de la famille pouvaient être fêtés en reprenant le même schéma que celui de la célébration des noces. Tel est le cas des banquets des prêtres qui chantaient leur première messe ou des moniales qui fêtaient la prise d'habit et la profession religieuse. À ces occasions, la famille organisait l'évènement avec les mêmes moyens et selon les mêmes règles que dans le cas des enfants qui changeaient d'état pour passer de célibataires à mariés.
  
Les informateurs d'Artziniega (A) font une distinction entre ''arreo'' et dot. Pour eux, l'''arreo'' consistait en ce qu'apportait la femme au ménage et qu'elle avait préparé de ses propres mains, à la différence de la dot ou ensemble d'argent liquide, de bétail, de maisons parfois, etc. («joyaux»), qu'apportaient les familles des deux époux. Parmi les biens qu'apportait la femme au mariage, on trouvait généralement des draps, des couvertures, du linge de table et autres serviettes, mais parfois aussi des couverts et d’autres équipements du foyer comme les lits, avec le matelas correspondant (Mendiola-A). À Murelaga (B) et à Zeanuri (B), on y ajoutait aussi le drap du cercueil, c'est-à-dire le suaire<ref>Resurrección Mª de AZKUE. ''Euskalerriaren Yakintza. ''Tome I. Madrid: 1935, p. 271. (Quand Azkue a recueilli cette information il signale déjà qu'elle se pratiquait au temps jadis).</ref>. Aujourd'hui, cette coutume a pratiquement disparu puisque toutes ces choses sont achetées ou reçues en cadeau (Treviño-A). À Valdegovía (A), on pouvait y trouver quelques animaux, bovins, équidés ou porcs. Dans les descriptions qui sont présentées plus avant, la composition de la dot ou du trousseau qui était apporté dans chaque localité est minutieusement détaillée.
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Pour les festivités simples postérieures au mariage, le nom généralement employé est celui de ''baraua hautsi'', ''barauskarria'', qui désigne le déjeuner réalisé après la cérémonie de mariage aux premières heures de la matinée.
  
Au début du siècle, les jeunes filles commençaient toutes jeunes à préparer leur trousseau. Dans plusieurs vallées de Navarre comme Baztan, Larraun et Roncal, à Amayur, Uztarrotz et en Zuberoa, lorsqu'elles atteignaient l'âge de treize ans elles recevaient de leurs parents une parcelle de terrain pour y semer du lin.
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== Les invités au banquet ==
  
De même, en Baztan (N) et à Amezketa (G), la maîtresse de maison donnait souvent à la servante, outre son salaire annuel, deux boisseaux de graines de lin qu'elle emportait chez elle pour commencer à préparer son trousseau.
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Comme le montrent les informations recueillies dans nos enquêtes, sauf dans le cas d'une union entre personnes âgées, seuls les jeunes assistaient au repas de noce. On disait que les noces en engendraient de nouvelles. Dans les localités où les parents des mariés n'assistaient ni au mariage, ni aux festivités du jour, ils étaient invités le dimanche suivant de l'union.
  
Le transport des «joyaux» était un acte ritualisé qui revêtait une grande importance, car il supposait l'entrée du nouveau conjoint dans la maison, évènement désigné en basque du terme d’''etxe-sartzea''. On utilisait pour cela le char à bœufs que l’on décorait pour l'occasion, de même que les animaux. On veillait aussi à ce que l’essieu grince en faisant le plus de bruit possible. Il était également habituel que parmi les objets qui étaient transportés d'une maison à l'autre figurent en bonne place le lit monté et préparé et la quenouille<ref>À propos de ce dernier élément, qui était souvent placé à un endroit bien visible, signalons que déjà chez les Romains la femme apportait dans son trousseau une quenouille, symbole de sa disposition à travailler.</ref>. Par ailleurs, un miroir occupait un lieu prééminent par les objets transférés.
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En tout état de cause, le nombre d'invités aux cérémonies était en général très limité. Dans diverses localités, il apparaît qu'au cours des premières décennies de ce siècle il a existé des noces auxquelles assistaient uniquement les parents, un ou deux cousins et quelques oncles et tantes. Les repas dans lesquels le nombre de convives ne dépassait pas les vingt ou trente personnes pouvaient être considérés comme importants pour ces années-là. En revanche, dans certains endroits il était courant d'inviter autrefois une grande partie du voisinage au repas de noce.
  
En Bizkaia, on ajoutait au joug de la charrette un travail de forge constitué de clochettes et couvert d'une peau de blaireau, à la place de l'habituelle peau de brebis. Le blaireau semble avoir été un animal dont certaines parties (griffes, poil, etc.) étaient utilisées pour éloigner le mauvais œil. L'ensemble formé par la peau et l'appareillage était désigné du nom de cet animal, à savoir ''azkonarra<ref>''Julio CARO BAROJA. Los vascos. San Sebastián: 191949, p. 324.''</ref>. Selon Azkue, à Murelaga (B) et à Ursuaran (G), on considérait comme un grand luxe le fait de disposer des peaux de blaireau sur le joug pour couvrir les clochettes dans le transport de la dot<ref>Resurrección Mª de AZKUE. ''Euskalerriaren Yakintza. ''Tome I. Madrid: 1935, p. 271.</ref>.
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En dehors du propre repas offert au groupe d'invités, les familles tenaient compte parfois de l'ensemble des proches qui ne pouvaient assister pour une raison quelconque aux cérémonies.  
  
Dans certains villages de Vasconia continentale, la coutume voulait que le transfert s’effectue en grande pompe. Dans le cortège se détachait la couturière qui avait aidé à élaborer le trousseau et qui était chargée de préparer la chambre des conjoints. À Basabürüa (Z), à ses côtés intervenait un personnage qui remplissait une fonction très importante dans un autre type de cortège, celui lié aux rituels funéraires, c’est-à-dire le menuisier <ref>Jean de JAUREGUIBERRY. "Un mariage en Haute-Soule" in ''Gure Herria, ''XIV (1934) p. 165.</ref>.
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Actuellement, au fur et à mesure que se sont généralisés les banquets au restaurant, la coutume de faire envoyer par le service de distribution d'un établissement des gâteaux aux familles invitées et qui n'ont pu assister au repas ou aux personnes qui, sans être invitées, peuvent avoir une relation d'amitié ou de proximité avec la famille, s'est imposée. Dans certains lieux, on fait également envoyer des cigares pour les hommes de la maison.
  
Cette opération n'avait pas lieu un jour précis, mais pouvait varier en fonction des localités entre le temps des bans et le lendemain de noce. Elle a été ritualisée à un tel point que les folkloristes du début du siècle lui ont accordé une grande attention et qu'il est donc possible d'en trouver diverses descriptions littéraires et détaillées. La tradition a commencé à se perdre dans les années trente de ce siècle.
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Dans le cas de parents âgés empêchés d'assister au banquet, une coutume assez répandue consiste à commander un repas spécial pour qu'il leur soit livré ce même jour.
  
Bien que l'héritier puisse être tant le garçon que la fille et que le transfert des ''joyaux'' d'une maison à l'autre soit réalisé parfois par le marié et à d'autres occasions par la mariée, ce n'est que le transfert de cette dernière qui revêtait une grande solennité.
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Dans les années 80, en outre, on envoyait très souvent, avec les gâteaux, une bouteille de champagne.
  
Actuellement, dans certains villages, on réalise des représentations populaires de noces traditionnelles dans lesquelles le transfert de la dot est repris comme autrefois. Ces reconstitutions ont habituellement une large répercussion dans la presse écrite et à la télévision.
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Ces dernières années, il est aussi courant que les nouveaux mariés envoient, outre l'invitation à assister à la totalité du banquet, une autre dans laquelle ils invitent un grand groupe d'amis et de connaissances uniquement pour la soirée après les agapes. Ces invités rejoignent alors la noce au café pour participer aux boissons, au bal et aux festivités postérieures.
  
== La conduite du conjoint adventice au domicile conjugal ==
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== La participation des garçons aux épousailles ==
  
Jadis, les deux conjoints, tant celui qui restait à la maison que celui qui devait s’y installer, se déplaçaient de l'église au foyer où allait se dérouler le banquet nuptial escortés par les assistants à la cérémonie qui étaient invités et parfois du musicien. Il convient de signaler que ce lieu ne coïncidait pas toujours avec le domicile conjugal. Le cortège se rendait parfois d'abord chez la mariée, qui normalement était celle qui changeait de domicile, et c'est là que les gens se restauraient, puis ils accompagnaient les mariés à leur résidence définitive.
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Comme il a été signalé plus haut, jadis, les noces étaient surtout une fête qui concernait la jeunesse et la participation du groupe de garçons étaient donc cruciale dans les festivités du mariage. Il était traditionnel que les mariés invitent leurs amis au repas nuptial. Et au-delà du repas, dans les villages où les groupes de garçons jouent un rôle d'une certaine importance, principalement en Alava et en Navarre, le groupe des jeunes participait à plusieurs activités spéciales.
  
== Inventaire et exposition de la dot ==
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En dehors de ces activités propres à ce groupe, nous pouvons affirmer qu'en général le groupe des garçons et de filles du lieu, ou du moins le groupe des amis et des proches plus jeunes des nouveaux mariés, assumait un rôle prépondérant tout le long des festivités nuptiales et notamment dans le cortège nuptial et, comme nous allons le voir plus loin, dans les coutumes liées à la nuit de noce.
  
L'exposition de la dot était autrefois un acte ritualisé par lequel une personne, normalement une femme, réalisait un décompte détaillé, et dans un ordre précis, de tous les objets apportés par la famille de la mariée au mariage. L'évènement avait parfois lieu le jour même du mariage, en préalable au banquet ou après lui, ou à une date antérieure à la cérémonie, généralement quand se produisait le transfert des biens de la maison de la future mariée à celle du promis.
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== Les grands banquets ==
  
La coutume de faire étalage de la dot de façon ritualisée s'est affaiblie au cours des années pour se limiter au trousseau et à l'habitation du nouveau couple sans aucun type de cérémonie. Les personnes qui s'en chargeaient étaient habituellement la propre fiancée, sa mère et parfois une voisine et les amis de la fiancée ou, le cas échéant, les invitées. Ces biens étaient montrés avant la noce ou le jour même de la cérémonie.
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Les mariages qui se fêtaient avec un banquet supposaient une série de travaux et de charges pour les familles liées au couple, surtout pour celle chargée de recevoir les invités à son domicile. Il fallait réunir tous les aliments, les élaborer, préparer la salle à manger, servir les convives et leur procurer en outre les divertissements postérieurs au repas de noce. Si la fête durait plusieurs jours, la famille devait aussi offrir un lieu de repos aux parents et aux invités pour qu'ils passent la nuit.
  
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Dans ce domaine, divers rites se sont également développés autour des nouveaux mariés, avec la participation tant du groupe d'invités présents que, parfois, celle du groupe des garçons du village.
  
{{DISPLAYTITLE: XIII. L'ENTRÉE AU DOMICILE CONJUGAL. ETXE-SARTZEA}} {{#bookTitle:Rites de la Naissance au Mariage au Pays Basque|Ritos_del_nacimiento_al_matrimonio_en_vasconia/fr}}
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Au fil des ans, les festivités de mariage a perdu du terrain, tant dans l'espace que dans le temps, tout en gagnant par contre en concentration. La tendance actuelle est que tous les rituels se déroulent dans un unique repas de noce, organisé en dehors du champ domestique, dans un restaurant éloigné, en règle générale, du lieu de provenance des nouveaux mariés. Toutefois, le nombre d'invités a très fortement grossi, ce qui a entraîné l'apparition de nouveaux usages autour de ce vaste groupe de convives.
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{{DISPLAYTITLE: XIV. LE REPAS DE NOCE. EZTEIAK}} {{#bookTitle:Rites de la Naissance au Mariage au Pays Basque|Ritos_del_nacimiento_al_matrimonio_en_vasconia/fr}}

Revisión del 11:15 28 jun 2019

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Autrefois, le banquet ou la série de banquets organisés pour fêter le mariage n'avaient pas plus d'importance que ceux préparés à d'autres moments importants de la vie traditionnelle. Certains témoignages indiquent même que les agapes organisées au moment des obsèques d'un membre de la maison pouvaient dépasser, selon l'époque, tant en abondance qu'en nombre d'invités, celles organisées à l'occasion d'un mariage[1].

N'oublions pas non plus que d'autres changements d'état chez les membres de la famille pouvaient être fêtés en reprenant le même schéma que celui de la célébration des noces. Tel est le cas des banquets des prêtres qui chantaient leur première messe ou des moniales qui fêtaient la prise d'habit et la profession religieuse. À ces occasions, la famille organisait l'évènement avec les mêmes moyens et selon les mêmes règles que dans le cas des enfants qui changeaient d'état pour passer de célibataires à mariés.

Pour les festivités simples postérieures au mariage, le nom généralement employé est celui de baraua hautsi, barauskarria, qui désigne le déjeuner réalisé après la cérémonie de mariage aux premières heures de la matinée.

Les invités au banquet

Comme le montrent les informations recueillies dans nos enquêtes, sauf dans le cas d'une union entre personnes âgées, seuls les jeunes assistaient au repas de noce. On disait que les noces en engendraient de nouvelles. Dans les localités où les parents des mariés n'assistaient ni au mariage, ni aux festivités du jour, ils étaient invités le dimanche suivant de l'union.

En tout état de cause, le nombre d'invités aux cérémonies était en général très limité. Dans diverses localités, il apparaît qu'au cours des premières décennies de ce siècle il a existé des noces auxquelles assistaient uniquement les parents, un ou deux cousins et quelques oncles et tantes. Les repas dans lesquels le nombre de convives ne dépassait pas les vingt ou trente personnes pouvaient être considérés comme importants pour ces années-là. En revanche, dans certains endroits il était courant d'inviter autrefois une grande partie du voisinage au repas de noce.

En dehors du propre repas offert au groupe d'invités, les familles tenaient compte parfois de l'ensemble des proches qui ne pouvaient assister pour une raison quelconque aux cérémonies.

Actuellement, au fur et à mesure que se sont généralisés les banquets au restaurant, la coutume de faire envoyer par le service de distribution d'un établissement des gâteaux aux familles invitées et qui n'ont pu assister au repas ou aux personnes qui, sans être invitées, peuvent avoir une relation d'amitié ou de proximité avec la famille, s'est imposée. Dans certains lieux, on fait également envoyer des cigares pour les hommes de la maison.

Dans le cas de parents âgés empêchés d'assister au banquet, une coutume assez répandue consiste à commander un repas spécial pour qu'il leur soit livré ce même jour.

Dans les années 80, en outre, on envoyait très souvent, avec les gâteaux, une bouteille de champagne.

Ces dernières années, il est aussi courant que les nouveaux mariés envoient, outre l'invitation à assister à la totalité du banquet, une autre dans laquelle ils invitent un grand groupe d'amis et de connaissances uniquement pour la soirée après les agapes. Ces invités rejoignent alors la noce au café pour participer aux boissons, au bal et aux festivités postérieures.

La participation des garçons aux épousailles

Comme il a été signalé plus haut, jadis, les noces étaient surtout une fête qui concernait la jeunesse et la participation du groupe de garçons étaient donc cruciale dans les festivités du mariage. Il était traditionnel que les mariés invitent leurs amis au repas nuptial. Et au-delà du repas, dans les villages où les groupes de garçons jouent un rôle d'une certaine importance, principalement en Alava et en Navarre, le groupe des jeunes participait à plusieurs activités spéciales.

En dehors de ces activités propres à ce groupe, nous pouvons affirmer qu'en général le groupe des garçons et de filles du lieu, ou du moins le groupe des amis et des proches plus jeunes des nouveaux mariés, assumait un rôle prépondérant tout le long des festivités nuptiales et notamment dans le cortège nuptial et, comme nous allons le voir plus loin, dans les coutumes liées à la nuit de noce.

Les grands banquets

Les mariages qui se fêtaient avec un banquet supposaient une série de travaux et de charges pour les familles liées au couple, surtout pour celle chargée de recevoir les invités à son domicile. Il fallait réunir tous les aliments, les élaborer, préparer la salle à manger, servir les convives et leur procurer en outre les divertissements postérieurs au repas de noce. Si la fête durait plusieurs jours, la famille devait aussi offrir un lieu de repos aux parents et aux invités pour qu'ils passent la nuit.

Dans ce domaine, divers rites se sont également développés autour des nouveaux mariés, avec la participation tant du groupe d'invités présents que, parfois, celle du groupe des garçons du village.

Au fil des ans, les festivités de mariage a perdu du terrain, tant dans l'espace que dans le temps, tout en gagnant par contre en concentration. La tendance actuelle est que tous les rituels se déroulent dans un unique repas de noce, organisé en dehors du champ domestique, dans un restaurant éloigné, en règle générale, du lieu de provenance des nouveaux mariés. Toutefois, le nombre d'invités a très fortement grossi, ce qui a entraîné l'apparition de nouveaux usages autour de ce vaste groupe de convives.


  1. "La comida de entierro. Entierro-bazkaria" in Ritos Funerarios en Vasconia. Atlas Etnográfico. Bilbao: 1995, pp. 533-548 et "Banquete funerario. Enterramenduko bazkaria" in La Alimentación Doméstica en Vasconia. Atlas Etnográfico. Bilbao: 1990, pp. 479-480.