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EL GANADO DE MONTE/fr

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Texto reemplazado: «Élevage et Activités Pastorales au Pays Basque» por «Élevage et Pastoralisme au Pays Basque»
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Estos últimos pastos se utilizaban principalmente durante el periodo primaveral, ya que los pastos altos aún no habían crecido a causa del clima, y al final del otoño, en que por el contrario se habían agotado. Cuando las condiciones eran las idóneas, ascendían hasta las montañas.<div style="margin-left:0cm;"></div>
Este régimen de pastoreo no se repite en todo el territorio estudiado ya que experimenta modificaciones en función de la altura de las sierras y montes, de la vertiente en que se ubiquen, del régimen de tenencia de la tierra y de costumbres locales, dando lugar por todo ello a una cierta variedad de modelos.<div style="margin-left:0cm;"></div>
Entre los animales que han aprovechado los pastos de altura destacan las ovejas. Por ello el siguiente capítulo se dedica exclusivamente a este ganado y al periodo de vida en la montaña.<div style="margin-left:0cm;"></div>
En el presente capítulo se recogen someramente datos sobre estos animales y además sobre los restantes ganados que se han echado al monte, principalmente de qué animales se ha tratado y durante qué periodos de tiempo. Con posterioridad se analizará el régimen de vida del pastor.<div style="margin-left:0cm;"></div>
Para remarcar las fechas de ascenso y descenso a los pastos de montaña muchos informantes recurren al santoral, es la forma que tienen para comunicarse sin tener que especificar día y mes. Se trata de una costumbre bastante extendida.<div style="margin-left:0cm;"></div>
La información se presenta agrupada por te- rritorios y dentro Traditionnellement, certains animaux ont toujours été élevés en stabulation continue ou, au maximum, allaient paître aux alentours de cada uno l'étable, surtout les bêtes de ellos por áreas trait et celles à lait. D'autres bétails mettaient à profit les pâturages situés à mi-hauteur des montagnes, où étaient construites des cabanes appelées parfois ''bordas'' où ils se réfugiaient quand les conditions climatiques étaient adverses. Ces derniers pâturages s'utilisaient surtout au printemps, car l'herbe d'altitude n'avait pas encore poussé à cause du climat, et à la fin de montaña o proximidad geográfical'automne, parce qu'à ce moment-là, au contraire, elle était épuisée. Los animales que se han soltado al monte son básicamente los mismos Quand les conditions étaient réunies, les troupeaux partaient en toda el área estudiadamontagne. La principal diferencia estriba Ce régime de pâture n'est pas partout présent sur le territoire étudié, car il existe certaines variations en la abundancia relativa fonction de los mismosl'altitude des montagnes environnantes, tal y como du versant où ils se observó en el capítulo dedicado a trouvent, du régime de propriété de la crianza terre et des coutumes locales, ce qui donne lieu à une certaine variété de animalesmodèles.<div class="subindice">Apartados:Pour souligner les dates de montée et de descente des pâturages de montagne, de nombreux informateurs ont recours aux saints du calendrier qui sont la façon qu'ils ont pour communiquer sans avoir à préciser le jour et le mois. Il s'agit d'une coutume assez répandue. === [[Bizkaia2|Bizkaia]] === En Bizkaia, les brebis sont clairement prédominantes parmi les cheptels qui partaient aux pâturages d'altitude, mais les bovins, les équidés et, dans une moindre mesure, les chèvres, ont eu aussi une importance considérable. Dans certains villages, les cochons étaient lâchés dans les zones montagneuses à l'automne pour se nourrir du fruit des chênes, yeuses, châtaigniers et autres hêtres et, quand il s'agissait de bergers qui restaient avec leurs troupeaux et qui élaboraient le fromage dans les cabanes d'altitude, pour qu'ils profitent du petit-lait. Dans certains villages de Biscaye dépourvus de montagnes élevées, les animaux étaient lâchés dans les pâturages communaux proches et revenaient à la ferme chaque jour. === [[Gipuzkoa2|Gipuzkoa]] === Au Gipuzkoa, le bétail prédominant est aussi le bétail ovin. Le mode de vie pastoral de vie avec le troupeau en montagne a existé dans les pâturages d'Aralar et d'Aizkorri. À Hondarribia, sur les flancs du Jaizkibel, paissent brebis, chevaux, vaches et un abondant cheptel de ''betitxu'' de plus de deux cent têtes. Un bon nombre de fermes, quand elles ont des vaches ''sèches'' ou des génisses, les lâchent en montagne au lieu de les soigner à la maison afin d'économiser la nourriture, le travail et la place qu'elles occupent à l'étable. Sauf si l'hiver est très dur, les animaux passent toute l'année au Jaizkibel. === [[Vasconia_continental2|Vasconia continental]] =continentale == Au Labourd, on élève en montagne des brebis, des ''pottokas'' et des ''betizus''. On y monte aussi des cochons pour qu’ils vagabondent dans les bois et se nourrissent de glands. Il y avait aussi des chèvres dont on tirait seulement de la viande, et non pas du lait, mais elles étaient mal vues en raison des dégâts qu'elles causaient. En Soule, on partait en montagne avec les brebis et avec les cochons qui étaient engraissés avec le petit-lait. Il pouvait aussi y avoir dans les ''olha'' deux ou trois chèvres au grand maximum. Certains y conduisaient les génisses, mais plus tard, à partir du 15 juin, voire du 1<sup>er</sup> juillet, en fonction des conditions climatiques. Les chevaux étaient montés entre juin et septembre parce que ces animaux dévoraient les pâturages sans rien laisser aux brebis. Le syndicat de Zuberoa veillait à ce qu'ils ne montent pas aux pâturages d'altitude en dehors de ces périodes pour laisser à l'herbe le temps de repousser. === [[Alava2|Álava]] ====== [[Navarra2|Navarra]] ====== [[La_captura_del_ganado_de_monte|En Tierra de Ayala, actuellement, le principal bétail qui monte à la Sierra Salvada, pâturage communal de tous les villages qui forment cette Terre dite d'Ayala, est le bétail ovin, avec plus de 6 000 têtes formant des troupeaux de jusqu'à 400 brebis ''latxas''. Tant jadis qu'actuellement, elles profitaient des pâturages jusqu'aux premières chutes de neige. Elles attendaient ensuite que la neige disparaisse pour remonter, mais aujourd'hui, une fois qu'elles sont descendues, elles ne remontent plus jusqu'à la saison suivante. Ces dernières années, la Salvada reçoit également plus de mille têtes de bétail bovin. La captura del ganado race la plus abondante est celle qui a été traditionnellement élevée dans cette zone, la ''terreña''. Les autres vaches ne sont pas généralement pas de race pure, mais plutôt des exemplaires croisés entre suisses, charolaises et pyrénéennes. Vers mars-avril, les vaches commencent à être visibles en altitude. Jadis, chaque ferme lâchait en montagne les quelques têtes de bétail bovin qu'elle élevait, qui n'atteignaient jamais les 100 ou 150 bêtes au total. De plus, près de 300 juments les accompagnent. C'est le bétail qui monte]] ===le premier en raison de sa robustesse et parfois même il lui est arrivé de rester en montage tout l'hiver. Il est fréquent que dans chaque grand troupeau de juments il y ait un étalon. La montagne reçoit en outre environ 100 ou 150 têtes de bétail caprin. Mais comme on dit de ces animaux qu'ils sont un peu frileux, ils n'y sont pas conduits avant la fin mai ou début juin. Ils redescendent dans la vallée en décembre.  === [[Apendice_El_aprovechamiento_de_los_pastos_en_Lezaun_À Urkabustaiz, on envoie en montagne les vaches de montagne, ''terreñas'' et ''betizu''. Elles restent là du printemps à la Saint-Michel (N29 septembre)|, voire même plus longtemps si le climat est propice. À partir de cette date, elles commencent à dormir dans les étables, mais en revenant chaque jour en montagne. Le propriétaire n'a pas à les guider, il les accompagne un moment et elles continuent leur chemin seules. Il se passe la même chose au moment de la descente, mais souvent l'Apéndice:éleveur doit laisser les petits à l'étable pour s' El aprovechamiento de los pastos en Lezaun (N)]] ===assurer du retour des mères. Avec les juments, le procédé est similaire, mais elles sont beaucoup plus résistantes et ne descendent que quand il neige ou si elles vont mettre bas. Après la mise à bas, elles sont envoyées paître sur les bordures du village pendant huit ou quinze jours. </div>On y conduit aussi brebis, chèvres et cochons blancs.{{DISPLAYTITLE: VIII. EL GANADO LE BÉTAIL DE MONTEMONTAGNE}} {{#bookTitle:Ganadería y pastoreo en VasconiaÉlevage et Pastoralisme au Pays Basque |Ganaderia_y_pastoreo_en_vasconia/fr}}
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