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EL PERRO DE PASTOR. ARDI-TXAKURRA/fr

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Texto reemplazado: «Élevage et Activités Pastorales au Pays Basque» por «Élevage et Pastoralisme au Pays Basque»
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Afin d'étendre la portée de ce chapitre, cet intitulé fait référence au chien qui aide le berger et non pas seulement au chien de berger en tant que race plus ou moins pure. Nous entendons par chien de berger tout chien qui a présenté une utilité pour ce dernier, qu'il s'agisse d'un pasteur de brebis ou de gros bétail, tandis que le concept de chien de berger a un sens plus restreint puisqu'il concerne la ou les races de chiens employées pour surveiller et conduire les troupeaux de brebis.
Au fil des années, les chiens bâtards ont été progressivement remplacés par des chiens de race, principalement le berger dit basque ou ''euskal ardi-txakurra'' (appelé par certains ''artzain-txakurra''). Deux variétés de celui-ci sont reconnues : ''iletsua'' et ''Gorbeakoa''. La première est uniformément présente sur tout le territoire et se caractérise par un pelage blond-léonin, un poil long sur le dos et les pattes antérieures et des oreilles toujours tombantes. Le second type, au pelage rouge feu et à tête plus longue, fréquente la zone du Gorbea<ref>Mariano GÓMEZ. ''Euskal Herriko bertako arracek. Katalogo etnologikoa. Razas autóctonas vascas. Catálogo etnológico''. Vitoria-Gasteiz: 1997, p. 35.</ref>.
Aujourd'hui, le berger dit basque a pris beaucoup d’importance mais les pasteurs ont aussi recours à d’autres types, bien que minoritaires, comme le petit berger des Pyrénées, le ''gos d’atura'' catalan, le ''border collie'', le ''collie'', le ''labrit'', le berger allemand et les bâtards, ce qui a augmenté la confusion existante entre eux<ref>Mariano GÓMEZ. «Perros « Perros de pastor en Bizkaia» Bizkaia » in ''Bizkaiko Gaiak-Temas Vizcaínos''. Nº 213 (1992) p. 9.</ref>.
== Les usages du chien de berger avec les brebis ==
Dans les cas, aujourd'hui majoritaires, où le pasteur a élevé son chien pour guider le troupeau, il parvient à réduire considérablement sa charge de travail quotidienne.
Les bergers de Vasconia continentale se souviennent que l'entraînement du labrit commence quand il a six mois. On commence son dressage en lui apprenant à aboyer à un signal, puis à le faire marcher à côté du berger et à cerner les bêtes sur une indication précise. On considère nécessaire de l'appeler par son nom et on utilise avec lui le vouvoiement, ''zuka'', sauf quand le propriétaire ne le veut pas et le tutoie, ''hika''. S'il commet une faute, on lui tire les oreilles mais jamais on ne le bat. Il doit apprendre à obéir aux ordres verbaux de son propriétaire<ref>Jean PEILLEN. «Lehenagoko « Lehenagoko artzaiñen jakitatia: arresen altxatzia, minak, eritarzünak» eritarzünak » in ''Bulletin du Musée Basque''. Nº 38 (1967) p. 161.</ref>.
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