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LA ALIMENTACION EN IPARRALDE/fr

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Les gens ramassaient les châtaignes ; certains allaient à la campagne pour pouvoir en trouver. Dans les fermes, on ramassait beaucoup de chataignes ; enfants et parents y participaient. On les laissez dans leurs bogues, ''kormutsa'', en tas sous un abri pour les conserver ; on les retournait régulièrement ; il y avait ainsi de la réserve de châtaigne jusqu'à Noël. On consommait les châtaignes, ''gaztainak'', cuites, ''egosirik'', ou grillées, ''errerik'', dans un instrument spécial, ''padera''.
On ne mangeait pas de maïs, ''artoa'' ;il servait à faire la farine de maïs chez le meunier, avec laquelle on faisait des galettes, ''taloak''.
Par manque d'entretien, manque de temps, les anciennes générations disparaissant, les vergers ont vieilli et disparu, personne n'a replanté d'arbre fruitier. Pour faciliter le travail des machines, avec la disparition des vignes, les arbres fruitiers ne bordent plus les parcelles.
=== Les rites avant et pendant le repas ===
Dans certaines familles, on faisait la prière avant les repas: le père ou la mère dirigeait la prière, ; les hommes enlevaient le béret, ''boneta.''.
On disait: «Bénissez « Bénissez le repas que nous allons prendre» prendre » ou «Jauna « Jauna benedika zazu gure janaria eta edaria»edaria ».
A À table, il ne fallait pas poser le pain à l'envers, renversé; le père ou la mère coupait le pain, pas les enfants; ils faisaient une croix avec la pointe du couteau avant de le commencer.
=== Le pain ===
Dans les fermes, on fabriquait le pain, ''ogia, ''à la maison. Ceux qui n'avaient pas de four à pain, ''labia, '', achetaient le pain chez le boulanger, ''bolanjerra. ''. Pour faire la pâte, ''pasta, '', on utilise de la farine de blé, ''ogi irina, '', moulue par le meunier, ''eihera zaina; ''; on lui donnait le blé en grain, ''ogi bihia, '', et il ramenait la farine en ayant gardé sa commission, ''gaga.paga''.
On faisait Pour faire le pain une fois par semaine, géneralement le samedi''ogiaren egiteko'', pour on mélange la semaine; cfarine de blé, ''ogi irina''est la maitresse , avec de maisonl'eau, ''etxeko anderia, ura''qui le faisait. Entre les guerres de 14 , et un peu de 39sel : on obtient une pâte, beaucoup ont commencé à acheter ''pasta'' ; après l'avoir longuement travaillée dans le pain au boulanger: parfoispétrin, ''aska'', il on y ajoute le comptabilisait sur une baguette en bois en faisant des encocheslevain, ''ozka (à altxagarria'', et la pâte lèvera''Garazi, à Ciboure)altxatu'' ; certains la mettaient dans la chaleur du lit pour la faire lever.
Une fois Pour faire lever la pâte prête et les formes données, on remplit le four, ''labia, pastaren altxatzeko''chauffé au préalable, avec une pelleon utilisait du levain, ''pala. altxagarria''Les hommes, : c''gizonak, ''le maitre etait un morceau de pâte mis de maison, ''nagusia, ''ou le domestique, ''mutila, ''préparent le four pendant côté la semaine: ils vident les cendresprécédente, ''hautsak, ''le nettoient et y mettent des branchages et du bois, ''egurra. ''Le samedi matin, on allume le feu, ''suia, ''et le four est chaud au bout d'une heure ou deuxainsi ce levain se renouvelait de semaine en semaine.
Une fois la pâte prête et les formes données, on remplit le four, ''labia'', chauffé au préalable, avec une pelle, ''pala''. Les hommes, ''gizonak'', le maitre de maison, ''nagusia'', ou le domestique, ''mutila'', préparent le four pendant la semaine: ils vident les cendres, ''hautsak'', le nettoient et y mettent des branchages et du bois, ''egurra''. Le samedi matin, on allume le feu, ''suia'', et le four est chaud au bout d'une heure ou deux. La cuisson du pain terminée, le four tiédi, on y faisait stériliser les bouteilles de tomate à la saison.
Pour faire lever On faisait le pain une fois par semaine, géneralement le samedi, pour la semaine ; c'est la pâtemaitresse de maison, ''pastaren altxatzeko, etxeko anderia''on utilisait du levain, qui le faisait. Entre les guerres de 1914 et de 1939, beaucoup ont commencé à acheter le pain au boulanger : parfois, il le comptabilisait sur une baguette en bois en faisant des encoches, ''altxagarria: ozka''c'etait un morceau de pâte mis de côté la semaine précédente, ainsi ce levain se renouvelait de semaine en semaine(à Garazi, à Ciboure).
La farineOn obtenait des pains ronds, ''irinaopilak'', ou des miches qui pesaient plus de deux kilos. Le boulanger vendait des pains d'un ou deux kilos, ''bi kiloko ogia''. Pour les enfants, la mère faisait des petits pains, ''provient opilak'', avec une pomme ou du blé de chocolat à l'intérieur. À Pâques, la maison moulu par le meuniermarraine offrait à sa filleule un pain particulier, ''morrodua'' (Basse-Navarre).
Pour faire le On ne fait pas de pain, ''ogiaren egiteko, ''on mélange avec la farine de blé, ''ogi irina, ''avec seigle. Avec la farine de l'eau, ''ura, ''et maïs on faisait un peu pain particulier : de sel: on obtient une pâtela méture, ''pasta; mestura''après l'avoir longuement travaillée dans ; ce pain, cuit au four en même temps que le pétrinpain normal, ''as-ka, ''on y ajoute était mangé avec le levain, ''altxagarria, ''et la pâte lèvera, ''altxatu; ''certains la mettaient lait en tant que pain. La méture ne se faisait que dans la chaleur du lit pour la faire leverles fermes.
On obtenait des pains ronds, ''opilak, ''ou des miches qui pesaient plus de deux kilos. Le boulanger vendait des pains de un ou deux kilos, ''bi kiloko ogia. ''Pour les enfants, la mère faisait des petits pains, ''opilak, ''avec une pomme ou du chocolat à l'intérieur. A Pâques, la marraine offrait à sa filleule un pain particulier, ''morrodua, ''(Basse-Navarre). On ajoute du sel (gatza) à la pâte à pain On ne fait pas de pain avec la farine de seigle. Avec la farine de maïs on faisait un pain particulier: de la méture, ''mestura; ''ce pain, cuit au four en même temps que le pain normal, était mangé avec le lait en tant que pain. La méture ne se faisait que dans les fermes. On fait le ''taloa ''ou ''paztetxa ''avec de la farine de maïs et de l'eau, cette . Cette pâte était cuite au foyer, ''supazterian. ''. On mangeait le ''taloa ''par gourmandise avec du fromage, ''kukumarroa, '', ou du jambon, mais aussi quand il n'y avait plus de pain, en attendant le jour de la cuisson. Dans des familles, on en faisait par gourmandise pour les enfants.
=== Le lait ===
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