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De Atlas Etnográfico de Vasconia
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====[/atlas/ritos/Portadores-del-feretro-jasotzaileak-Amezketa.jpg|Porteurs du corps. Amezketa (G). Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|La mort était un événement qui concernait habituellement le voisinage, circonstance qui donnait à la maison funéraire un rôle protagoniste.|]====
 
====[/atlas/ritos/Portadores-del-feretro-jasotzaileak-Amezketa.jpg|Porteurs du corps. Amezketa (G). Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|La mort était un événement qui concernait habituellement le voisinage, circonstance qui donnait à la maison funéraire un rôle protagoniste.|]====
  
====[/atlas/ritos/Adornando-las-sepulturas-para-el-dia-de-Todos-los-Santos-Bilbao-1990.jpg|Entretien des tumbes à l’occasion de fête de la Toussaint. Bilbao (B), 1990. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa : José Ignacio García Muñoz.|Parmi les autres présages de mort, on était particulièrement attentif au comportement anormal de certains animaux domestiques, essentiellement le chien et le coq.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Adornando-las-sepulturas-para-el-dia-de-Todos-los-Santos-Bilbao-1990.jpg|Entretien des tumbes à l’occasion de fête de la Toussaint. Bilbao (B), 1990. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa : José Ignacio García Muñoz.|Parmi les autres présages de mort, on était particulièrement attentif au comportement anormal de certains animaux domestiques, essentiellement le chien et le coq.||]====
  
====[/atlas/ritos/Santa-Grazi.jpg|Sainte-Engrâce (Z). Source : Boissel, W. Le Pays Basque. Sites, Arts et Coutumes. Paris, A. Calavas édit.|Cuando el cárabo canta, la muerte levanta. <br />''Quand la hulotte chante, il lève la mort.''||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Santa-Grazi.jpg|Sainte-Engrâce (Z). Source : Boissel, W. Le Pays Basque. Sites, Arts et Coutumes. Paris, A. Calavas édit.|Cuando el cárabo canta, la muerte levanta. <br />''Quand la hulotte chante, il lève la mort.''||]====
  
====[/atlas/ritos/Sepulturas-en-la-nave-de-la-iglesia-Amezketa-1990.jpg|Sépultures dans l’église. Amezketa (G), 1990. Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|Chaque maison disposait d’un lieu d’enterrement à l’intérieur de l’église. Plus tard, lorsque les enterrements sont passés aux cimetières, les maisons ont continué à garder la sépulture réelle, convertie maintenant en sépulture symbolique, où étaient effectuées les offrandes de pains et de lumières aux ancêtres et des prières étaient récitées pour le salut de leur âme.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Sepulturas-en-la-nave-de-la-iglesia-Amezketa-1990.jpg|Sépultures dans l’église. Amezketa (G), 1990. Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|Chaque maison disposait d’un lieu d’enterrement à l’intérieur de l’église. Plus tard, lorsque les enterrements sont passés aux cimetières, les maisons ont continué à garder la sépulture réelle, convertie maintenant en sépulture symbolique, où étaient effectuées les offrandes de pains et de lumières aux ancêtres et des prières étaient récitées pour le salut de leur âme.||]====
  
====[/atlas/ritos/Toque-de-campana-anunciando-la-muerte-Beasain.jpg|Cloche des morts. Beasain (G). Source : José Zufiaurre, Groupes Etniker Euskalerria.|La sonnerie des cloches a été un moyen très efficace de communiquer les décès dans les populations rurales.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Toque-de-campana-anunciando-la-muerte-Beasain.jpg|Cloche des morts. Beasain (G). Source : José Zufiaurre, Groupes Etniker Euskalerria.|La sonnerie des cloches a été un moyen très efficace de communiquer les décès dans les populations rurales.||]====
  
====[/atlas/ritos/Cortejo-funebre-1925.jpg|Cortège funèbre, c. 1925. Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|Il existait des chemins spécifiques par lesquels le corps du défunt était transporté de la maison mortuaire jusqu’à l’église et le cimetière.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Cortejo-funebre-1925.jpg|Cortège funèbre, c. 1925. Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|Il existait des chemins spécifiques par lesquels le corps du défunt était transporté de la maison mortuaire jusqu’à l’église et le cimetière.||]====
  
====[/atlas/ritos/Mujeres-con-ofrendas-Otxagabia-1920.jpg|Porteuses d’offrandes. Otsagabia (N), c. 1920. Source : Archive particulier de Fco. Javier Zubiaur et M.ª Amor Beguiristain : Studios photographiques Roldán et Calle.|Il était courant que les participants au cortège funèbre, tant les parents du défunt que les voisins, apportent des offrandes de pain et de lumière.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Mujeres-con-ofrendas-Otxagabia-1920.jpg|Porteuses d’offrandes. Otsagabia (N), c. 1920. Source : Archive particulier de Fco. Javier Zubiaur et M.ª Amor Beguiristain : Studios photographiques Roldán et Calle.|Il était courant que les participants au cortège funèbre, tant les parents du défunt que les voisins, apportent des offrandes de pain et de lumière.||]====
  
====[/atlas/ritos/Ofrenda-de-luces-Amezketa.jpg|Offrandes de lumières. Amezketa (G). Source : Garmendia Larrañaga, Juan. Neguko Festak. Donostia, 1993, studio photographique J. Juanes.|Les lumières qui étaient offertes éclairaient l’âme du défunt. Et les pains servaient à le nourrir.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Ofrenda-de-luces-Amezketa.jpg|Offrandes de lumières. Amezketa (G). Source : Garmendia Larrañaga, Juan. Neguko Festak. Donostia, 1993, studio photographique J. Juanes.|Les lumières qui étaient offertes éclairaient l’âme du défunt. Et les pains servaient à le nourrir.||]====
  
====[/atlas/ritos/Duelo-femenino-Sara.jpg|Femmes en dueil. Sare (L). Source : Veyrin, Philippe. Pays Basques de France et d’Espagne. Paris-Grenoble, 1951.|La manifestation la plus évidente du deuil était le deuil vestimentaire.||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Duelo-femenino-Sara.jpg|Femmes en dueil. Sare (L). Source : Veyrin, Philippe. Pays Basques de France et d’Espagne. Paris-Grenoble, 1951.|La manifestation la plus évidente du deuil était le deuil vestimentaire.||]====
  
====[/atlas/ritos/Anuncio-de-la-muerte-a-las-abejas.jpg|Communication de la mort aux abeilles. Source : ''Gure Herria''.|Erletxuak, erletxuak, <br />egizute argizaria, <br />nagusia hil da-ta, <br />behar da elizan argia. <br /><br />''Formule rituel pour la communication de la mort aux abeilles''||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Anuncio-de-la-muerte-a-las-abejas.jpg|Communication de la mort aux abeilles. Source : ''Gure Herria''.|Erletxuak, erletxuak, <br />egizute argizaria, <br />nagusia hil da-ta, <br />behar da elizan argia. <br /><br />''Formule rituel pour la communication de la mort aux abeilles''||]====
  
====[/atlas/ritos/Amortajamiento-de-un-nino-Durango.jpg|Linceul d’enfant. Durango (B). Source : Archive de l’Association Gerediaga : Studio photographique Germán.|Jaiotzetik heriotza zor. <br />''Quand tu as commencé à vivre, tu as commencé à mourir.''||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Amortajamiento-de-un-nino-Durango.jpg|Linceul d’enfant. Durango (B). Source : Archive de l’Association Gerediaga : Studio photographique Germán.|Jaiotzetik heriotza zor. <br />''Quand tu as commencé à vivre, tu as commencé à mourir.''||]====
  
====[/atlas/ritos/Pipaon-1990.jpg|Pipaón (A), 1990. Source : Pilar Alonso, Groupes Etniker Euskalerria.|Hildakoari hobia eta biziari ogia. <br />''Le mort au trou et le vif au petit pain.''||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Pipaon-1990.jpg|Pipaón (A), 1990. Source : Pilar Alonso, Groupes Etniker Euskalerria.|Hildakoari hobia eta biziari ogia. <br />''Le mort au trou et le vif au petit pain.''||]====
  
====[/atlas/ritos/Hilarriak-Irulegi.jpg|Stèles funéraires. Irouléguy (NB). Source : Michel Duvert, Groupes Etniker Euskalerria.|Oilarrak gauez kukurruku jotzen badu, laster izango da gorpuren bat etxe hartan. <br />''Coq qui chante au coucher du soleil, signe de mort.''||ENLACE]====
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====[/atlas/ritos/Hilarriak-Irulegi.jpg|Stèles funéraires. Irouléguy (NB). Source : Michel Duvert, Groupes Etniker Euskalerria.|Oilarrak gauez kukurruku jotzen badu, laster izango da gorpuren bat etxe hartan. <br />''Coq qui chante au coucher du soleil, signe de mort.''||]====
  
  

Revisión del 15:13 10 feb 2020

Vieux et jeune couples. Areatza (B), début du XXème siècle. Source : Archive particulier de Rubén de Las Hayas.
Maison et Famille au Pays Basque

Maison et Famille au Pays Basque

Chaque famille s’efforçait de transmettre le patrimoine familial, c’est-à-dire la maison et ses biens, intégralement, ou avec la moindre perte possible, ou en l’améliorant, de parents à enfants.
Alimentation Domestique au Pays Basque

Alimentation Domestique au Pays Basque

Gabon, bon-bon; Natibitate, ase eta bete; San Estebantxe, lehen letxe. La veille de Noël, nous mangeons en abondance ; le jour de Noël, nous mangeons jusqu'à ce que nous soyons rassasiés ; le jour de la Saint-Étienne, nous reprenons les anciennes habitudes.
Marché de Saint-Thomas. Bilbao, 1950. Source : Fondation Sancho el Sabio.
En veillant sur l’enfant. Source : Novedades. Donostia, 1914.
Jeux d’Enfants au Pays Basque

Jeux d’Enfants au Pays Basque

Obabatxua lo ta lo, zuk orain eta nik gero; zeuk gura dozun orduren baten, biok egingo dogu lo ta lo. Chanson de berceau
Médecine Populaire au Pays Basque

Médecine Populaire au Pays Basque

Eros ogi eta gazta, erremediotan ez gasta. Mieux vaut dépenser pour la nourriture que pour soigner des blessures.
Camomille. Source : Luis Manuel Peña, Groupes Etniker Euskalerria.
Fête patronale. Zeanuri (B), 1922. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa : Fonds Felipe Manterola.
Rites de la Naissance au Mariage au Pays Basque

Rites de la Naissance au Mariage au Pays Basque

Les occasions de rencontre entre garçons et filles étaient la promenade dominicale, le bal et les processions.
Rites Funéraires au Pays Basque

Rites Funéraires au Pays Basque

La sonnerie des cloches a été un moyen très efficace de communiquer les décès dans les populations rurales.
Cloche des morts. Beasain (G). Source : José Zufiaurre, Groupes Etniker Euskalerria.
Bergerie moderne. Izurtza (B), 2000. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa : José Ignacio García Muñoz.
Élevage et Pastoralisme au Pays Basque

Élevage et Pastoralisme au Pays Basque

Les transformations qui se sont déroulées au cours des dernières décennies ont radicalement modifié le monde de l’élevage, de sorte que celui-ci cessé d’être un mode de vie pour devenir une activité économique.
Agriculture au Pays Basque

Agriculture au Pays Basque

Ce savoir agricole traditionnel s’enracinait dans le lien profond qui s’établissait avec la terre, parce que dans une économie basée sur l’autosuffisance il n’y avait pas d’autre choix que d’être respectueux avec elle, puisque c’est d’elle que dépendait la propre subsistance.
Transport d’herbe verte. Carranza (B), 1977. Source : Miguel Sabino Díaz, Groupes Etniker Euskalerria.