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Un troisième cercle plus périphérique comprend la parentèle, ''senitartea'', composée de consanguins à un degré plus éloigné, ''urrineko senideak'', et des membres rattachés, ''erantsiak''. La relation à la maison de ce troisième groupe se manifeste principalement à l’occasion des enterrements et des funérailles.
Le suffixe –''tarrak'' précédé du nom de famille famille ou du nom de la maison indique la famille dans toute son extension, y compris toute la parentèle à quelque degré que ce soit. ''“[UribeUribe]tarrak”'' est équivalent au terme castillan “Les [Uribe]”. Pour désigner la lignée ou la famille unie par un tronc commun, le basque utilise aussi le terme ''leinua''. Les réunions plénières plénières qui rassemblent la famille étendue, ''senitarteasenitartea'', ont exercé traditionnellement une double double fonction : maintenir les liens de consanguinité consanguinité et honorer les ancêtres. Les défunts de la famille continuent à en faire partie. C’est pourquoi ils sont remémorés par les membres du groupe domestique à la date anniversaire de leur mort et, de façon plus officielle, à l’occasion de la Toussaint.
Autrefois, les relations de parenté se soignaient plus qu’aujourd’hui, alors que le cercle de relations familiales s’est réduit. Actuellement, c’est peut-être par l’assistance aux enterrements, funérailles et mariages que se conservent et se manifestent le plus les liens de parenté.