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Preambulo Ganaderia y pastoreo en vasconia/fr

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Dans les régions montagneuses, les communaux ont toujours revêtu une grande importance dans l’économie traditionnelle des vi - llages environnants; c’est pour gérer cette jouissance commune que furent créées des associations ou unions, formées de plusieurs villages, comme celles de Sierra Salvada, Guibijo, Izki, Aizkorri (Parzonería General de Álava y Gipuzkoa), Enirio et Aralar, et des Bardenas Reales en Navarre. Les unions ou pactes établis entre des communautés des deux versants des Pyrénées eurent également la même finalité.
La libre jouissance des terres communales s’est maintenue en vigueur dans des villages qui, parmi elles, disposent de pâturages et de bois (hêtres, chênes, yeuses) traditionnelle­ment traditionnellement utilisés par les habitants pour alimenter leur bétail (brebis, vaches et chevaux), et pour ramasser du bois de chauffage, de la fougère pour les litières du bétail stabulé ou des glands pour les cochons.
La libre circulation du bétail, historique­ment, n’a connu d’autres limitations que les haies des terrains privés et les limites avec les communes voisines ou un communal apparte­nant à une autre association ou pacte. Le bétail avait même le droit de circuler sur les terrains privés, non clos par un muret ou une haie, dès que les récoltes étaient faites. La priorité de ce droit de circulation des troupeaux sur la mise en culture s’exprime dans la phrase suivante: ''Soroak zor dio larreari ''(La terre labourée a une dette envers le pré). Ce régime de pâturage est encore en vigueur dans certai­nes vallées pyrénéennes comme celle de Ron­cal (N).
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