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Preambulo Ganaderia y pastoreo en vasconia/fr

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La libre circulation du bétail, historiquement, n’a connu d’autres limitations que les haies des terrains privés et les limites avec les communes voisines ou un communal appartenant à une autre association ou pacte. Le bétail avait même le droit de circuler sur les terrains privés, non clos par un muret ou une haie, dès que les récoltes étaient faites. La priorité de ce droit de circulation des troupeaux sur la mise en culture s’exprime dans la phrase suivante: ''Soroak zor dio larreari ''(La terre labourée a une dette envers le pré). Ce régime de pâturage est encore en vigueur dans certaines vallées pyrénéennes comme celle de Roncal (N).
<div class="mw-translate-fuzzy">[[File:3.5_Perennite_des_zones_de_paturages_Dolmen_de_Gaxteenia_Mendibe_19805_Perennite_des_zones_de_paturages.png_Dolmen_de_Gaxteenia._Mendibe_(BN)_1980.jpg|center|600px|Pérennité des zones de pâturages. Dolmen de Gaxteenia. Mendibe (BN), 1980. Fuente: Blot, Jacques. ''Artzainak. Les bergers basques. Los pastores vascos''. San Sebastián, Elkar, 1984.]]</div>
Un type d’élevage primitif, antérieur à la stabulation, consiste à laisser errer dans les montagnes, librement, les vaches et les juments dont le bénéfice provient uniquement de leur viande et de leur descendance. Ce bétail qui vit dans un état demi-sauvage porte sur son cuir la marque de son appartenance à une maison précise. Il est toutefois difficile de le considérer comme faisant partie du cheptel domestique et certains moyens employés pour sa capture en pleine montagne rappellent plutôt les battues de chasse, la capture s’effectuant finalement à l’aide de lassos ou de chiens.
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