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Preambulo Ganaderia y pastoreo en vasconia/fr

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[[File:3.1_Coincidencia_entre_areas_megaliticas_y_zonas_de_pastoreo_segun_Barandiaran_1927.png|frame|Coincidencia entre áreas megalíticas y zonas de pastoreo según Barandiaran (1927). Fuente: ''Anuario de Eusko Folklore'', Tomo VII. 1927 (Dibujo de Don José Miguel de Barandiaran).]]
<div class="mw-translate-fuzzy">Les dernières fouilles archéologiques<ref>M.ª Amor BEGUIRISTAIN. «Los yacimientos de habitación durante el Neolítico y Edad del Bronce en el Alto Valle del Ebro», ''Trabajos de Arqueología Navarra (TAN), ''3 (1982) pp. 59-156. A. CAVA; Maria Amor BEGUIRISTAIN. «El abrigo prehistórico del abrigo de la Peña (Marañón, Navarra)» in ''Trabajos de Arqueología Navarra (TAN), ''10, (1991-1992) pp. 69-135. A. ALDAY. «Abrigo de Atxoste-Puerto de Azáceta (Virgala). I Campaña de excavación arqueológica» in ''Arqueoikuska ''1996, pp. 35-46. Idem (1998a): «Abrigo de Atxoste-Puerto de Azáceta (Virgala). II Campaña de excavación arqueológica», ''Arqueoikuska ''1997''. ''Idem (1998b): «El depósito prehistórico de Kanpanoste Goikoa (Virgala, Álava). Memoria de las actuaciones arqueológicas 1992-1993». ''Memoria de Yacimientos Alaveses ''5. Diputación Foral de Álava. J. FERNANDEZ ERASO. (1997): «Excavaciones en el abrigo de Peña Larga (Cripán, Álava)» in ''Memoria de Yacimientos Alaveses ''4, (1997) Diputación Foral de Álava. J. GARCIA GAZOLAZ. «Los orígenes de la economía de producción en el País Vasco meridional: de la descripción a la explicación» In ''Illunzar ''2 (1994) pp. 87-99. Idem. «Apuntes para la comprensión de la dinámica de ocupación del actual territorio navarro entre el VI y el III milenio» in ''Cuadernos de Arqueología de la Universidad de Navarra ''3, (1995) pp. 86-146.</ref> ont reculé l’âge de la Néolithisation de Vasconia, dont l’antiquité semble supérieure à celle qui lui a été attribuée jusqu’ici. Dans les Pyrénées Occidentales, la présence des animaux domestiques est documentée dès le dernier quart du Ve millénaire a. C., aussi bien sur les sites du versant océanique (grotte de Arenaza-B) que sur le versant méditerranéen (Peñalarga-A; Los Cascajos, Los Arcos-N). Les espèces domestiques de cette étape si précoce sont les ovi-caprins (les plus abondants) et les bovidés. Dans la grotte de Peñalarga (Alava), on trouve, outre la brebis (qui dans tous les cas est l’espèce la plus abondante), des bovidés et le cochon domestique.</div>
=== Le régime traditionnel de l’activité pastorale ===
L’intensification de la production a entraîné une disparition progressive des races autochtones. Celles-ci étaient autrefois rentables en raison de leur adaptation parfaite au milieu physique dans lequel elles s’étaient développées. Aujourd’hui, elles ont perdu leur attrait à cause de leur plus faible productivité face à l’exploitation généralisée d’animaux à hauts rendements. Les races qui survivent encore paissent en liberté dans les zones montagneuses qui ne peuvent être utilisées par des animaux jugés plus productifs.
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[[File:3.2_Moderno_establo_de_ovejas_Izurza_2000.png|frame|Moderno establo de ovejas. Izurza (B), 2000. Fuente: Archivo Fotográfico Instituto Labayru: José Ignacio García Muñoz.]]
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L’intérêt pour la conservation des races autochtones est récent et semble obéir à des raisons d’ordre culturel plutôt qu’à la préoccupation des éleveurs pour la survie de ces races. C’est au cours de ces dernières années que le concept de race autochtone a été appliqué à divers types d’animaux élevés depuis des temps anciens, baptisés à cette occasion de dénominations inconnus par ces mêmes éleveurs. Seules les personnes contraintes, en raison de leur métier, de se rendre dans des endroits lointains (comme les maquignons par exemple) étaient conscientes de la diversité raciale des différents types de bétail.
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