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COMUNICACION DE LA MUERTE/fr

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Las campanas han perdido vigencia en la actualidad pero, en cambio, se ha popularizado la inserción de esquelas en periódicos. El empleo de esquelas, pero de las que se colocan en puntos transitados de la calle, ya se hallaba extendido con antelación. También se ha recurrido a las cuñas radiofónicas.<div style="margin-left:0cm;"></div>
En las últimas décadas, con la difusión del uso del teléfono, se ha trastocado de modo radical todo lo concerniente a los métodos tradicionales para anunciar la muerte.<div style="margin-left:0cm;"></div>
Con Comme son titre l’indique, ce chapitre traite de la notification de la excepción mort par les personnes proches du défunt à tous ceux qui, en raison de este último artilugio liens familiaux, sociaux ou d’amitié, peuvent vouloir se podría afirmar rendre au domicile mortuaire pour exprimer leurs condoléances à la famille ou simplement assister aux obsèques. Ces personnes proches du défunt sont normalement des parents, et souvent celles qui cohabitent avec lui, mais il peut aussi s’agir d’un ou de plusieurs voisins avec lesquels il existe une relation plus étroite, de jeunes du village, voire même de los diferentes medios que cuanto más lejos en personnes auxquelles ce rôle est d’une certaine façon dévolu, comme le premier voisin ou le voisin le plus proche et certaines femmes. == Avis == Lorsqu’un décès survient dans une maison, la distancia permiten difundir coutume exige de le faire savoir aux parents, qu’ils résident dans la noticia menos selectivos son en relación a quienes même localité ou à l’extérieur, aux voisins et aux amis du défunt. Le médecin aussi est averti, afin qu’il certifie la recibenmort, et le curé pour qu’il prête les attentions opportunes et fixe l’heure des funérailles. El teléfonoDe même sont informés le sacristain, por el contrarioou la personne chargée de faire sonner les cloches et, ha aunado las dos virtudes: autrefois, le menuisier pour qu’il prépare le cercueil. === Destinataires de la de notification === Les personnes qui, normalement, sont averties d’un décès sont les parents du défunt, tant ceux qui vivent dans la transmisión oral même localité que ceux qui résident ailleurs, y compris ceux qui vivent loin de là ; la nouvelle est aussi donnée aux habitants du village ou du quartier.  === Personnes chargées d’avertir du décès === Dans un bon nombre de localités, la communication du décès était normalement assurée par un parent du défunt ou, le cas échéant, par un ou plusieurs voisins proches. Toutefois la accesibilidad a familiares y amigos alejados en el espaciocoutume de confier cette tâche au voisin considéré premier, à certains jeunes du village ou à certaines femmes était aussi très généralisée.<div class== Les sonneries de cloches =="subindice">Apartados:Les sonneries de cloche ont constituée une façon très efficace de communiquer la mort dans les villages à petit nombre d’habitants. Il était habituel qu’en entendant sonner le glas les personnes suspendent un moment leur activité pour réciter une prière pour le défunt. === Moment du glas === [[Avisos La règle générale était de faire sonner les cloches dès que la nouvelle du décès était connue, une fois qu’elle était transmise à la personne chargée de les faire sonner._HilEn lparralde, en revanche, cette sonnerie avait lieu pendant le transfert de la croix de l’église jusqu’au domicile mortuaire.  === Personne chargée de faire sonner les cloches === Normalement la personne chargée de faire sonner les cloches était le sacristain (Apodaca, Mendiola-mezuak|AvisosA; Gorozika, Muskiz-B; Arnezketa-G; Allo, Izal, Monreal-N) et, là où il y en avait un, le sonneur de cloches (Valdegovía-A). Hil-mezuak]]  === Le langage des sonneries === Traditionnellement, les sonneries de cloche après un décès informaient non seulement de la mort d’une personne, mais aussi de son âge, autrement dit s’il s’agissait d’un enfant ou d’un adulte, et de son sexe. Elles indiquaient également si le défunt était un prêtre ou s’il appartenait à une confrérie.  ===Le glas dans les chapelles = [[Los_toques_de_campana._Hil== À Durango (B), lorsque le décès se produisait à la campagne, dans les quartiers ruraux de San Roque, Santa Apolonia, San Andrés et Orozketa, la cloche de la chapelle San Roque sonnait à trois heures de l’après-kanpaiak_hil-zeinuak|Los toques midi et au passage du cadavre à proximité de campanala chapelle. Hil === Sonneries d’enterrement === D’autres sonneries funèbres ont été recueillies pour la période entre ce moment initial et la messe de funérailles, ainsi que celles, enfin, qui précèdent et qui suivent immédiatement les obsèques. Leur fonction n’est pas d’annoncer le décès, dont la nouvelle à ce moment-kanpaiaklà est amplement connue, hilmais plutôt d’annoncer la célébration de la messe. == Les faire-zeinuak]] =part == === [[Las_esquelas|Las esquelas]] Faire-part dans le journal === Les faire-part qui sont publiés dans les journaux ont pour but d’annoncer le décès aux parents les plus éloignés, tant géographiquement qu’en termes de parentèle, ainsi qu’à certaines connaissances du défunt qu’il n’est pas nécessaire d’avertir par les procédés habituels et plus immédiats. Ainsi, le faire-part permet de toucher de façon presque immédiate un nombre indistinct de personnes qui, par d’autres moyens, n’auraient pas été informées suffisamment à l’avance pour assister éventuellement aux obsèques.  === [[Los_recordatorios|Los recordatorios]] Faire-part dans la rue === Un autre type de faire-part est celui qui consiste en une petite affiche ou rectangle de carton où figurent les données du défunt et quand, dans quelle église et à quelle heure auront lieu les obsèques. Ces faire-part sont placés à des endroits stratégiques qui varient en fonction des lieux, mais qui ont en commun d’être très fréquentés et connus par la communauté. == Annonce de la mort aux animaux domestiques == [[Anuncio_de_la_muerte_a_los_animales_domesticos|Anuncio  La coutume voulait que l’on communique le décès des membres de la famille aux animaux domestiques, puisque d’une certaine façon ceux-ci font aussi partie du groupe domestique ; la maison, en définitive, est une communauté composée des êtres vivants qui l’habitent, qu’il s’agisse de personnes ou d’animaux. Mais, à juger par la muerte faible réponse obtenue lors des enquêtes, cette pratique a los animales domésticos]] été oubliée. === Avis aux abeilles === Les abeilles aussi étaient informées, principalement de la mort du maître ou de la maîtresse de maison et, dans certains endroits, de celle de tout membre de la famille. La personne qui se chargeait de les avertir était habituellement l’héritier, la veuve ou le veuf, un parent, voire un voisin ou un ami. Dans certains lieux, on pensait que si un étranger s’en occupait, les abeilles l’attaqueraient (Morga-B et Haltsu-L)<ref>Resurrección Maria de AZKUE. ''Euskalerriaren Yakintza''. Tome l. Madrid, 1935, p. 430.</divref>. === Avis aux animaux de l’étable === Outre la communication de la mort aux abeilles, il existait dans certains villages la coutume de l’annoncer aux autres animaux domestiques de la maison. L’extension de ce rite semble avoir été plus réduite que celle du rite liée aux abeilles. À Sara (L), il était coutume de communiquer la mort d’un membre de la famille, surtout celle du maître ou de la maîtresse de maison, aux bœufs et aux vaches en les faisant se lever dans l’étable. Elle était aussi annoncée aux autres animaux du poulailler, de la porcherie et du bercail.  {{DISPLAYTITLE: VI. COMUNICACIÓN LA COMMUNICATION DE LA MUERTEMORT}} {{#bookTitle:Ritos funerarios en Vasconia Rites Funéraires au Pays Basque| Ritos_funerarios_en_vasconia/fr}}&nbsp;
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