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La transmission avait aussi son expression rituelle au niveau de la sépulture de la maison. Azkue mentionne une coutume autrefois très répandue en Bizkaia et au Gipuzkoa, mais aussi connue jusque dans la vallée de Roncal en Navarre :
«Le « Le jour férié immédiatement après celui du mariage, la vieille maîtresse de maison (''etxekoandre zaharra'') conduit sa belle-fille (''emazte ezkonberria'') au sépulcre de la famille. La belle-mère embrasse l'étole (du prêtre) et lui donne deux livres de pain. La belle-fille porte l'offrande et réalise également une aumône pour les prières. »<ref>Resurrección M.ª de AZKUE. ''Euskalerriaren Yakintza. ''Tome l. Madrid, 1935, p. 277.</ref>.
Elle prend ainsi possession de la sépulture de la maison, s'associe aux ancêtres de cette dernière et entre dans la famille de l'époux. Dorénavant les deux femmes co-présideront les rites funéraires sur la sépulture ou ''jarleku ''de l'église, de la même façon qu'elles co-dirigent la vie dans la maison. À défaut d'''etxekoandre zaharra'', c'était l'''etxekoandre berria'' qui exerçait la présidence de la sépulture, même si les filles de la première étaent vivantes.
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