Cambios

Saltar a: navegación, buscar

LA ALIMENTACION EN IPARRALDE/fr

90 bytes eliminados, 12:26 21 jun 2019
sin resumen de edición
Une diversification des aliments est apparue à cette époque ; on ne mangeait pas toujours les mêmes choses, des plats réservés aux jours de fête se trouvaient sur la table pour des repas ordinaires. Le monde rural, qui utilisait essentiellement les produits de la ferme, a eu recours aux épiceries, aux boulangeries, aux boucheries, aux poissonneries...
Les citadins connaissaient les différents commerces alimentaires et avaient une alimentation plus variée mais ils dépendaient toujours de l'argent pour se nourrir ; ils achetaient le pain, le vin, la charcuterie, parfois les légumes ; à la campagne, les gens connaissaient moins de difficultés pécuniaires pour s'alimenter ; il y avait toujours de quoi manger: le jardin, le cochon et la basse-cour fournissaient les aliments nécessaires.
Petit à petit, il a fallu produire et rentabiliser son travail, les agriculteurs ont dû se spécialiser dans des productions, ainsi le monde rural a adopté progressevement, à partir des années 60, le même système que les ouvriers et les citadins pour se procurer les aliments et pour se nourrir.
==== Fruits ====
Dans toutes les fermes, il y avait un verger, ''sagardoia, '', proche de la maison: on faisait du cidre. Aux bords des champs, dans les jardins, ''baratzetan'', dans les vignes, ''mahastitan'', il y avait des pêchers, des pruniers, des confiturespoiriers, on en mangeait de l'arbre'udari ondoa'' ou ''pera ondoa'', des cerisiers... Aux jardins, il y avait des groseilles et des cassis.
Aux bords des champsOn consommait ces fruits à l'arbre ; ils étaient mangés parfois comme dessert. Dans les fermes, dans les jardinsfemmes faiseaint des confitures, ''baratzetanerreximeta'' ou ''konfitura'', de cerise, ''gerezia''dans les vignes, de raisin, ''mahastitanmahatsa'', de prune, ''il y avait ahana'', de pêche, ''mertxika'', et des pêchersgélées, des pruniersplus sucrées que les confitures, des poiriersde pomme, ''udari ondoa sagarra''ou , de coing, de groseille. Les enfants cueillaient les mûres, ''perce ondoa, mazuzak''des cerisiers. Au jardin, il y avait le long de routes pour en faire des groseilles, des cassis, même chez les ouvriersconfitures.
On consommait gardait les pommes reinettes au grenier pour les manger en hiver. Les noix, ''intzaurrak'', et les noisettes, ''hurrak'', étaient ramassées et mises à sécher au grenier où il y avait aussi des pommes ; ces fruits à se mangeaient l'arbre, ils étaient mangés parfois comme desserthiver.
Par contre, dans les fermes, les femmes faiseaint des confituresAvec certaines pommes, ''erreximeta, konfitura, sagar eztika''de cerise, ''gereziaon faisait du cidre, ''de raisin, sagar arnoa''mahatsa. À des pommes coupées en lamelles et séchées, on y ajoutait de l''de pruneeau et on buvait la boisson obtenue : piquette, ''ahana, pitarra''de (à Bidart). Avec la pêche, ''mertxika ''et des gélées, plus sucrées que les confitures, le cassis on faisait de pomme, ''sagarra, 'l'alcool de coing, pêche et du sirop de groseillecassis pour la maison.
Par manque dChaque ferme avait sa ou ses vignes, ''mahastia''entretien, manque qui fournissaient le vin de tempsla maison, les anciennes générations disparaissant''etxeko arnoa''. Mais la maladie et le travail demandé ont fait disparaitre beaucoup de vignes. Les vignes replantées avec des plants Tannat, les vergers ont vieilli et disparu''bordelesa'', Cabernet, personne n'a replanté d'arbre fruitieraxeria'', hybrides ont remplacés des plants parfois interdits de nos jours.
Pour faciliter le travail Les cochons mangeaient des machinespetites pommes ; on les envoyait en automne manger des glands, ''ezkurrak'', avec la disparition en montagne ; ainsi ils engraissaient, ils mangeaient aussi des vignes, les arbres fruitiers ne bordent plus les parcelleschâtaignes.
Avec certaines pommesLes gens ramassaient les châtaignes ; certains allaient à la campagne pour pouvoir en trouver. Dans les fermes, on ramassait beaucoup de chataignes ; enfants et parents y participaient. On les laissez dans leurs bogues, ''kormutsa''sagar eztika, en tas sous un abri pour les conserver ; on les retournait régulièrement ; il y avait ainsi de la réserve de châtaigne jusqu'à Noël. On consommait les châtaignes, 'on faisait du cidre'gaztainak'', cuites, ''egosirik'', ou grillées, ''errerik'', dans un instrument spécial, ''sagar arnoa; padera''on gardait les pommes reinettes au grenier pour les manger en hiver.
A des pommes coupées en lamelles et séchéesOn ne mangeait pas de maïs, on y ajoutait ''artoa'' ;il servait à faire la farine de l'eau et maïs chez le meunier, avec laquelle on buvait la boisson obtenue: piquettefaisait des galettes, ''pitarra (à taloak''Bidart).
Avec la pêche et le cassis on faisait de lPar manque d'alcool de pêche et du sirop entretien, manque de cassistemps, pour la maison. Les noixles anciennes générations disparaissant, ''intzaurra ''et les noisettes, ''hurra, ''étaient ramassées vergers ont vieilli et mises à sécher au grenier où il y avait aussi des pommes; ces fruits se mangeaient l'hiver. Chaque ferme avait sa ou ses vignesdisparu, personne n'a replanté d'mahastia, ''qui fournissaient le vin de la maison, ''etxeko arnoaarbre fruitier. ''Mais la maladie et Pour faciliter le travail demandé ont fait disparaitre beaucoup de vignes. Les vignes replantées avec des plants Tannatmachines, ''bordelesa, ''Cabernet, ''axeria, ''hybrides ont remplacés avec la disparition des plants parfois interdits de nos jours. Les enfants cueillaient les mûresvignes, ''mazuzak, ''le long de routes pour en faire des confitures. Les cochons mangeaient des petites pommes; on les envoyait en automne manger des glands, ''ezkurrak, ''en montagne; ainsi ils engraissaient, ils mangeaient aussi des chataignes, ''gaztainak.'' Les gens ramassaient les chataignes, certains allaient à la campagne pour pouvoir en trouver. Dans les fermes, on ramassait beaucoup de chataignes, enfants et parents y participaient. On arbres fruitiers ne bordent plus les laissez dans leurs bogues, ''kormutsa, ''en tas sous un abri pour les conserver; on les retournait régulièrement; il y avait ainsi de la réserve de chataigne jusqu'à Noël. On consommait les chataignes, ''gaztainak, cuites, ''egosirik, ''ou grillées, ''errerik, ''dans un instrument spécial, ''padera.'' On ne mangeait pas de maïs, ''artoa; ''il servait à faire la farine de maïs chez le meunier avec laquelle on faisait des galettes, ''taloakparcelles.''
==== Légumes ====
127 728
ediciones