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LA INDUMENTARIA EN EL CORTEJO FUNEBRE/fr

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En los años veinte<div class="mw-translate-fuzzy"><div style="margin-left:0cm;"></div></div> <div class="mw-translate-fuzzy"><div style="margin-left:0cm;"></div></div>  <div class="mw-translate-fuzzy"><div style="margin-left:0cm;"></div></div> <div class="mw-translate-fuzzy"><div style="margin-left:0cm;"></div></div>  <div class="mw-translate-fuzzy"><div style="margin-left:0cm;"></div></div>  <div class="mw-translate-fuzzy"><div style="margin-left:0cm;"></div></div> <div style="margin-left:0cm;"></div>  <div style="margin-left:0cm;"></div>  Autrefois, la tradition et la coutume imposaient des règles rigoureuses en matière d'habillement exigé aux participants au cortège funèbre, treinta o cuarentaet surtout aux membres du deuil. La première exigence était le deuil même, dependiendo c'est-à-dire le port de vêtements noirs ou sombres comme expression de unas localidades u otrasdouleur. Les hommes du deuil masculin portaient autrefois une chemise blanche à boutons noirs et un costume noir, souvent celui des noces, ou la meilleure tenue dont ils disposaient. Par dessus ils se produjo una transición couvraient d'une grande cape, presque toujours noire. Cette coutume qui remonte à très longtemps est restée en el modo vigueur jusqu'aux premières décennies du siècle et, dans quelques villages, jusqu'à la guerre civile de vestir para entierros y funerales1936. Los hombres abandonaron las grandes capas y En Iparralde, la indumentaria con tradition s'est perdue presque partout après la première guerre mondiale et a disparu dans les années quarante. Si antan le port de capes par les assistants était généralisé, selon ce qui a été recueilli, avec le temps ce vêtement a été réservé aux membres du deuil ou à certains de ses membres. Quand il se produisait un décès dans une maison, il était fréquent, si on ne disposait pas de cette pièce, de se la faire prêter par une autre maison. Dans certains endroits, il a été constaté que le fait d'avoir une cape était un signe d’aisance. Les femmes, autrefois, s'habillaient de leurs meilleurs vêtements de couleur noire et se vestían eracouvraient de grands manteaux noirs. La coutume de compléter la tenue féminine dans les maisons voisines était courante parmi les femmes. Certaines personnes n'avaient pas le linge approprié pour l'occasion, ni les moyens ni la possibilité de s'en procurer, et devaient teindre à la maison les vêtements dont elles disposaient. L'ensemble noir était complété par des bas, des chaussures et des gants noirs. Les femmes du deuil étaient habituellement complètement couvertes, avec même un voile ou une mantille sur le visage. Les informatrices d'Iparralde l'ont exprimé de façon hautement graphique : camisa blanca« ''Il ne faut pas voir de couleur de chair'' ». Dans les années vingt, traje negro oscurotrente ou quarante, corbata negra y zapatos negrosen fonction des villages, il s'est produit une transition dans la façon de s'habiller pour aller aux enterrements et aux obsèques. Estuvo muy extendida Les hommes ont abandonné les grandes capes pour adopter la costumbre tenue suivante : chemise blanche, costume noir, cravate noire et chaussures noires. La coutume de llevar porter un brazalete negro colocado en brassard noir placé sur la manga izquierda manche gauche de la chaqueta yveste et, en inviernohiver, sobre las prendas de abrigo o sur le manteau ou la gabardinagabardine a été très répandue. También se llevaban pequeños triángulos On portait aussi de tela negra cosidos en uno petits triangles de los ángulos tissu noir cousus au revers de la solapa de veste et des boutons et des cocardes noirs à la chaqueta y botones y escarapelas negros en el ojalboutonnière. En Vascoñia continental se utilizaron unas prendas singulares como Vasconia continentale, on utilisait des vêtements particuliers comme la pequeña capa denominada capeline appelée ''taulerra ''y et la zamarrapelisse, ''xamarra''. La coutume voulait que les hommes aillent tête nue, avec le béret à la main, pendant le défilé du cortège funèbre. Il semble que l'origine de cette tradition soit une superstition liée à la crainte des dangers qui menaçaient pendant la conduite des cadavres<ref>Resurrección M.ª de AZKUE. ''Euskalerriaren Yakintza''. Tome I. Madrid, 1935, p. 223. Il a observé que la même coutume existait dans certains lieux d'Allemagne. L'affirmation que l'origine en est une superstition a été faite par Paul Sartori.</ref>.
Fue costumbre generalizada que los hombres fueran descubiertosLes femmes du deuil féminin, à partir des années citées, ont continué à porter le noir. La tenue était constituée de robes, vestes, jupes, gants, bas et chaussures noirs. Le port de différentes sortes de mantilles s'est généralisé, au début plus longues et épaisses, puis moins importantes. Dans certains lieux, con la boina en veuve et quelques autres femmes de la manomaison mortuaire n'assistaient pas au cortège funèbre. Au Pays basque continental, durante el desfile de deux sont les vêtements des femmes qui font partie du deuil, la ''mantaleta'' et la comitiva fúnebre''kaputxina''. Parece que el origen Dans ce territoire, c'était les voisines qui se chargeaient de esta tradición es una superstición por miedo a los peligros que amenazaban en préparer la tenue funéraire, et surtout la conducción de cadáverestenue féminine<ref>Resurrección Mª Michel DUVERT. « Données ethnographiques sur le vécu traditionnel de AZKUE. la mort en Pays basque-nord » in ''Euskalerriaren YakintzaMunibe''. Tomo I. Madrid, 1935, XLII (1990) p. 223. Observó que la misma costumbre existía en algunos lugares de Alemania. La afirmación de que el origen es una superstición fue hecha por Paul Sartori481.</ref>.
Las mujeres del duelo femenino, a partir de las décadas citadas, siguieron vistiendo de negro. La indumentaria consistía en vestidos, chaquetas, faldas, guantes, medias y zapatos negros. Se generalizó el uso de distintas clases de mantillas, al principio más largas y gruesas que poco a poco fueron reduciéndose de tamaño. En algunas localidades, la viuda y algunas otras mujeres de la casa mortuoria no asistían al cortejo fúnebre. En el País Vasco continental son dos las prendas femeninas de las mujeres que integran el dueloDans les enterrements d'enfants, la ''mantaleta ''y la ''kaputxina. aingeruak''En este territorio eran las vecinas las encargadas de preparar la indumentaria funeraria, sobre todo la femenina<ref>Michel DUVERT. “Données Ethnographiques sur on ne prenait pas le vécu traditionel de la Mort en Pays Basque-nord” in deuil car il s'agissait d'Munibe'êtres purs, d', XLII (1990) p. 481.</ref>âmes innocentes qui allaient directement au ciel.
[[File:FIGURADe même qu'occuper une place plus ou moins privilégiée au sein du cortège dépendait du degré de parenté ou de voisinage, la même règle jouait pour l'intensité du deuil. Ce dernier était plus accusé parmi les membres du groupe familial domestique, ''etxekoak'', que chez les autres parents, voisins ou amis.png|RTENOTITLE_FIGURA]]
En los entierros Les assistants à l'enterrement qui ne faisaient pas partie du deuil ou du groupe des honneurs funèbres, qui y assistaient par « obligation », étaient moins assujettis aux formalités de los niñosl'habillement. Toutefois, ''aingeruakdans certaines localités et surtout en campagne, les voisins et autres assistants s''no se iba habillaient fréquemment de luto por entender que se trataba noir avec des vêtements semblables à ceux des personnes directement liées au défunt. Cette situation concernait notamment ceux et celles qui avaient un lien particulier de seres purosvoisinage ou étaient considérés comme les premiers voisins, almas inocentes que se encaminaban directamente al cielo''lehenauzoak''.
Al igual que ocupar Les prêtres, qui pouvaient être un lugar más o menos preferente en la comitiva venía dado por el parentesco familiar o ou plusieurs selon la vecindadcatégorie des obsèques, lo mismo ocurría con la intensidad del lutoy assistaient avec leurs ornements rituels. Le ou les curés qui présidaient le cortège portaient des capes pluviales noires à broderies dorées. Este era más acusado entre los miembros del grupo familiar doméstico, ''etxekoak, ''que en otros familiares, vecinos o amigosLes autres prêtres et les enfants de chœur revêtaient un rochet blanc.
Los asistentes a los entierros que no formaban parte del duelo o del grupo de ''honraVers les années soixante, soixante-dix et quatre-vingt selon les localités, une nouvelle évolution s'est produite dans la façon de s'que acudían por «obligación», estaban menos sujetos a las formalidades de la indumentariahabiller. No obstanteLe propre cortège funèbre, en algunas localidadesgénéral, sobre todo del ámbito ruralest devenu beaucoup plus court dans son trajet et, los vecinos y otros asistentes vestían frecuentemente à l'exception des personnes très proches du défunt, les autres assistants ont cessé de negro con ropas semejantes a las personas vinculadas directamente con el difunto. Esta situación afectaba especialmente a quienes tenían s'habiller spécialement pour ce qui était autrefois considéré comme un trato particular de vecindad o la consideración de primeros vecinos, ''lehenauzoakacte solennel. ''
Los sacerdotesAujourd'hui, que podían ser uno o varios según les expressions de deuil chez les membres de la categoría del funeralfamille sont très atténuées et limitées exclusivement aux parents les plus proches. Au grand maximum, les hommes du deuil s'habillent de couleurs sombres avec une cravate noire, acudían revestidos con los ornamentos del ritualet les femmes du deuil ou de sortie de deuil utilisent ces mêmes couleurs. El cura o curas que presidían el cortejo llevaban capas pluviales negras con bordados doradosMême ces expressions résiduelles des modes anciens d'expression extérieure de la douleur aux obsèques sont souvent circonscrites aux adultes et aux personnes âgées car les jeunes s'habillent comme ils l'entendent et ne respectent pas le deuil. Los demás sacerdotes y los monaguillos vestían roquetes blancosLes autres participants au cortège funèbre ne s'habillent pas d'une façon particulière, mais à leur discrétion.
En torno a las décadas sesenta, setenta y ochenta según las localidades, se ha recogido que se produjo una nueva transición en la forma de vestir. El propio cortejo fúnebre, en general, se ha visto muy reducido en su recorrido y salvo las personas muy allegadas al difunto, los demás asistentes han dejado de acudir especialmente vestidos a lo que antes se consideraba un acto solemne.
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