Cambios

Saltar a: navegación, buscar

LOS RITOS FUNERARIOS EN IPARRALDE/fr

823 bytes añadidos, 07:06 17 jun 2019
Página creada con «Il y a d'abord la mort qui est le terme naturel d'une longue vieillesse. Le vieillard deviendra un temps un sujet d'inquiétude, une préocupation. Le prêtre vient le voir...»
== Présages et signes, agonie ==
La muerte es el término natural de una larga vejezIl y a d'abord la mort qui est le terme naturel d'une longue vieillesse. Le vieillard deviendra un temps un sujet d'inquiétude, une préocupation. Le prêtre vient le voir plus souvent, les premiers voisins demandent des nouvelles, font des visites. El anciano Chacun se convierte durante algún tiempo en un tema prépare a l'issue fatale. Et puis il y a la mort qui frappe là où l'on ne l'attend pas, au moment imprévu. On évoque ici une sorte de résignation, de preocupacióndestin (''jin beharra, gertatu beharra zen'') comme si notre aventure était déjà écrite. El sacerdote viene Aggravant cette conception, le suicidé nous montre qu'il y a visitarle más en nous quelque chose qui nous dépasse; c'est ce que dit ce dicton bien connu: ''odolak baduela hamar idi parek baino indar gehiago''. Il y a menudoenfin ''Herioa'' qui vient nous chercher et contre lequel on lutte: celui qui est affaibli sera facilement emporté. Ce combat sera suivi avec inquiétude par la communauté (surtout si le malade est jeune) qui parlera volontiers de vaincu, d'attaque, de rémission, los primeros vecinos se interesan por su saludde force, hacen visitasetc. Todos se preparan para el desenlace fatalEn marge de ce contexte, dont le discours d'église devra s'accommoder, il y a une «lecture de signes».
De pronto la muerte golpea donde no se la espera, en un momento imprevisto. Se evoca aquí una especie de resignación, de destino (''jin beharra'', ''gertatu beharra zen'') como si nuestra aventura estuviera ya escrita. Agravando este concepto, la persona que padece la muerte nos muestra que existe algo en nosotros que nos supera; así reza ese dicho tan conocido: ''odolak baduela hamar idi parek baino indar gehiago''. Finalmente tenemos a ''Herioa'' quien viene a buscarnos y contra quien luchamos: el que se encuentra debilitado caerá fácilmente. Este combate se sigue con preocupación en la comunidad (sobre todo si el enfermo es joven), que hablará con naturalidad de vencido, de ataque, de remisión, de fuerza, etc. Al margen de este contexto, al que el discurso de la iglesia deberá acomodarse, existe una “lectura de las señales”.
127 728
ediciones