Diferencia entre revisiones de «Main Page/fr»

De Atlas Etnográfico de Vasconia
Saltar a: navegación, buscar
Línea 59: Línea 59:
 
====[/atlas/alimentacion/Labartoa.jpg|Boisseau de maïs. Source: Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.|Le maïs, à partir du XVIIe siècle, et la pomme de terre, au XIXe, ont bouleversé le régime alimentaire des Basques.|]====
 
====[/atlas/alimentacion/Labartoa.jpg|Boisseau de maïs. Source: Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.|Le maïs, à partir du XVIIe siècle, et la pomme de terre, au XIXe, ont bouleversé le régime alimentaire des Basques.|]====
  
====[/atlas/alimentacion/Dando-brillo-al-pan.jpg|Pains à la sortie du four. Source : Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.|Nolako irina, halako ogia. <br />''A mauvaise farine, mauvais pain.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Dando-brillo-al-pan.jpg|Pains à la sortie du four. Source : Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.|Nolako irina, halako ogia. <br />''A mauvaise farine, mauvais pain.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Mercado-de-Navidad-Vitoria-Gasteiz-1977.jpg|Marché de Noël. Vitoria-Gasteiz, 1977. Source : Fernando Díaz de Corcuera, Groupes Etniker Euskalerria.|Aza-olioak pil-pil, <br />bisigua zirt-zart, <br />gaztaina erreak pin-pan, <br />ahia goxo-goxo, epel-epel. <br /><br />Chant traditionnel de Noël||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Mercado-de-Navidad-Vitoria-Gasteiz-1977.jpg|Marché de Noël. Vitoria-Gasteiz, 1977. Source : Fernando Díaz de Corcuera, Groupes Etniker Euskalerria.|Aza-olioak pil-pil, <br />bisigua zirt-zart, <br />gaztaina erreak pin-pan, <br />ahia goxo-goxo, epel-epel. <br /><br />Chant traditionnel de Noël||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Secado-Ispoure.jpg|Séchage des chorizos. Ispoure (NB). Source : Peio Goïty, Groupes Etniker Euskalerria.|Ezkonduko urtea eta txarria hildako astea, onenak. <br />''L’année où on se marie et la semaine où on tue le cochon sont les meilleures.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Secado-Ispoure.jpg|Séchage des chorizos. Ispoure (NB). Source : Peio Goïty, Groupes Etniker Euskalerria.|Ezkonduko urtea eta txarria hildako astea, onenak. <br />''L’année où on se marie et la semaine où on tue le cochon sont les meilleures.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Abriendo-los-cortes-tras-la-fermentacion.jpg|Grignage après fermentation. Source : Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.|Donde no hay ni pan ni pollos, el horno no está para bollos. <br />''Là où il n’y a pas ni pain ni poulets, le four n’est pas pour les brioches.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Abriendo-los-cortes-tras-la-fermentacion.jpg|Grignage après fermentation. Source : Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.|Donde no hay ni pan ni pollos, el horno no está para bollos. <br />''Là où il n’y a pas ni pain ni poulets, le four n’est pas pour les brioches.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Merienda-principios-del-siglo-20.jpg|Goûter, début du XXème siècle. Source : Archive de la Députation Forale de Gipuzkoa : Fonds Indalecio Ojanguren.|Goseak dagonarentzat, ogi gogorrik ez. <br />''A bonne faim, pas de pain dur.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Merienda-principios-del-siglo-20.jpg|Goûter, début du XXème siècle. Source : Archive de la Députation Forale de Gipuzkoa : Fonds Indalecio Ojanguren.|Goseak dagonarentzat, ogi gogorrik ez. <br />''A bonne faim, pas de pain dur.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Mercado-de-Santo-Tomas-Bilbao-1950.jpg|Marché de la Ribera. Bilbao, début du XXème siècle. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa.|Les aliments étaient tirés de l’exploitation agricole familiale ou achetés sur les marchés voisins qui s’approvisionnaient, quant à eux, dans l’environnement local. Cette autosuffisance domestique ou locale était complétée par quelques rares produits, presque toujours de nature extraordinaire.||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Mercado-de-Santo-Tomas-Bilbao-1950.jpg|Marché de la Ribera. Bilbao, début du XXème siècle. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa.|Les aliments étaient tirés de l’exploitation agricole familiale ou achetés sur les marchés voisins qui s’approvisionnaient, quant à eux, dans l’environnement local. Cette autosuffisance domestique ou locale était complétée par quelques rares produits, presque toujours de nature extraordinaire.||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Comida-a-bordo.jpg|Repas à bord. Source : Archive Aguirre.|Nahiz dala udea, <br />nahiz dala negua, <br />goizeko zortziretan, <br />armozu ordua. <br /><br />''Chant traditionnel''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Comida-a-bordo.jpg|Repas à bord. Source : Archive Aguirre.|Nahiz dala udea, <br />nahiz dala negua, <br />goizeko zortziretan, <br />armozu ordua. <br /><br />''Chant traditionnel''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Caserio-Olabide-Zerain-1982.jpg|Maison Olabide. Zerain (G), 1982. Source : Karmele Goñi, Groupes Etniker Euskalerria.|Sueteko laratzak jakiten dau etxeko barri. <br />''On connaît chacun à la façon dont il est chez lui.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Caserio-Olabide-Zerain-1982.jpg|Maison Olabide. Zerain (G), 1982. Source : Karmele Goñi, Groupes Etniker Euskalerria.|Sueteko laratzak jakiten dau etxeko barri. <br />''On connaît chacun à la façon dont il est chez lui.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Desgranando-habas.jpg|Égrenage des haricots. Source : Akaitze Kamiruaga, Groupes Etniker Euskalerria.|Haricots et fèves étaient les légumes secs les plus cultivés et constituaient une part importante de l’alimentation quotidienne.||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Desgranando-habas.jpg|Égrenage des haricots. Source : Akaitze Kamiruaga, Groupes Etniker Euskalerria.|Haricots et fèves étaient les légumes secs les plus cultivés et constituaient une part importante de l’alimentation quotidienne.||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Mercado-de-Santo-Tomas-Bilbao-1950.jpg|Marché de Saint-Thomas. Bilbao, 1950. Source : Fondation Sancho el Sabio.|Gabon, bon-bon; Natibitate, ase eta bete; San Estebantxe, lehen letxe. <br />''La veille de Noël, nous mangeons en abondance ; le jour de Noël, nous mangeons jusqu'à ce que nous soyons rassasiés ; le jour de la Saint-Étienne, nous reprenons les anciennes habitudes.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Mercado-de-Santo-Tomas-Bilbao-1950.jpg|Marché de Saint-Thomas. Bilbao, 1950. Source : Fondation Sancho el Sabio.|Gabon, bon-bon; Natibitate, ase eta bete; San Estebantxe, lehen letxe. <br />''La veille de Noël, nous mangeons en abondance ; le jour de Noël, nous mangeons jusqu'à ce que nous soyons rassasiés ; le jour de la Saint-Étienne, nous reprenons les anciennes habitudes.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Abrir-el-txotx-Gipuzkoa-1988.jpg|Txotx traditionnelle. Gipuzkoa, 1988. Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|On dagizula janak eta kalterik ez edanak. <br />''Profite bien du repas et de la boisson.''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Abrir-el-txotx-Gipuzkoa-1988.jpg|Txotx traditionnelle. Gipuzkoa, 1988. Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.|On dagizula janak eta kalterik ez edanak. <br />''Profite bien du repas et de la boisson.''||]====
  
====[/atlas/alimentacion/Ronda-del-rosco-el-dia-de-San-Cristobal-Oquina-1986.jpg|Ronde de la couronne le jour de la Saint-Christophe. Oquina (A), 1986. Source : Gerardo López de Guereñu Iholdi, Groupes Etniker Euskalerria.|Con pan y vino se anda el camino. </br>''Avec du pain et du vin, on fait le chemin''||ENLACE]====
+
====[/atlas/alimentacion/Ronda-del-rosco-el-dia-de-San-Cristobal-Oquina-1986.jpg|Ronde de la couronne le jour de la Saint-Christophe. Oquina (A), 1986. Source : Gerardo López de Guereñu Iholdi, Groupes Etniker Euskalerria.|Con pan y vino se anda el camino. </br>''Avec du pain et du vin, on fait le chemin''||]====
  
  

Revisión del 15:11 10 feb 2020

Vieux et jeune couples. Areatza (B), début du XXème siècle. Source : Archive particulier de Rubén de Las Hayas.
Maison et Famille au Pays Basque

Maison et Famille au Pays Basque

Chaque famille s’efforçait de transmettre le patrimoine familial, c’est-à-dire la maison et ses biens, intégralement, ou avec la moindre perte possible, ou en l’améliorant, de parents à enfants.
Alimentation Domestique au Pays Basque

Alimentation Domestique au Pays Basque

Nolako irina, halako ogia. A mauvaise farine, mauvais pain.
Pains à la sortie du four. Source : Ander Manterola, Groupes Etniker Euskalerria.
À la ronde. Larraul (G). Source : Antxon Aguirre, Groupes Etniker Euskalerria.
Jeux d’Enfants au Pays Basque

Jeux d’Enfants au Pays Basque

Korruka Al corro de las patatas, naranjas y limones, como comen los señores, alupé, alupé, sentadito me quedé.
Médecine Populaire au Pays Basque

Médecine Populaire au Pays Basque

Le pain de Noël, ogi salutadorea, a la vertu de ne pas encanecerse et de prévenir l’apparition de la rage chez les chiens et d’autres animaux domestiques.
Pain de Noël. Source : Akaitze Kamiruaga, Groupes Etniker Euskalerria.
Offrande aux défunts de la famille. Donostia, 1958. Source : Segundo Oar-Arteta, Groupes Etniker Euskalerria.
Rites de la Naissance au Mariage au Pays Basque

Rites de la Naissance au Mariage au Pays Basque

Ezkonberri, etxe berri. Le marié, ce qu’il veut, c’est une maison.
Rites Funéraires au Pays Basque

Rites Funéraires au Pays Basque

Oilarrak gauez kukurruku jotzen badu, laster izango da gorpuren bat etxe hartan. Coq qui chante au coucher du soleil, signe de mort.
Stèles funéraires. Irouléguy (NB). Source : Michel Duvert, Groupes Etniker Euskalerria.
Bergerie moderne. Izurtza (B), 2000. Source : Archive Photographique Labayru Fundazioa : José Ignacio García Muñoz.
Élevage et Pastoralisme au Pays Basque

Élevage et Pastoralisme au Pays Basque

Les transformations qui se sont déroulées au cours des dernières décennies ont radicalement modifié le monde de l’élevage, de sorte que celui-ci cessé d’être un mode de vie pour devenir une activité économique.
Agriculture au Pays Basque

Agriculture au Pays Basque

Nos paysans et leurs ancêtres ont connu et pratiqué une agriculture dont l’échelle était plus humaine, avec une vision plus holistique qui prenait en compte, non seulement le rendement, mais aussi un réseau complexe de facteurs physiques et d’êtres vivants plongés dans une activité en définitive enracinée dans la culture de cette vie qui nous donne notre nourriture.
Latières. Source: Archive Historique Ecclésiastique de Biscaye: Fonds Sanctuaire d’Urkiola.