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REGRESO A LA CASA MORTUORIA Y AGAPES FUNERARIOS/fr

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<div style="margin-left:Nik hain bitxi kausitu nuen jestu hori, nun irria eskapatu baitzitzaitan. Osabari gaitzitu zitzaion ene irri zozoa eta zarta bat eman zautan, harenganik ukan dudan bakarra, 1911-ko martxoaren 27-an. 0cm;"></div>
:Geroztik galdatu izan diot Victor Coustau zenari, zertako zen arno<div style="margin-ixurtze hori, eta ez diot bertze argitasunik jalgi ahal izan hau baizikleft: 'Gure zaharrek hala egiten ziteian'. Niri ez dautet burutik atherako latin paganoek 'libatio' deitzen zuten ohidura gelditu zitzaikula Ithorrotzen eta Olhaibin, bainan poxi bat girixtinotua, kurutzearen seinalearekin nahastekatua tenaz geroz»<ref0cm;">Pierre LAFITTE. “Atlantika-Pirene-etako sinheste zaharrak” in ''Gure Herria'', XXXVII (1965) pp. 101-102.</refdiv>.
<div style="margin-left:(Recuerdo que cuando murió mi abuelo en Ithorrotze había un cruce de caminos frente a una casa que llamábamos ''Serorateia0cm; ''allí un vecino nuestro quemó un montón de paja a la hora de conducir el cadáver a la iglesia. Más tarde pregunté al vecino para qué había hecho ese fuego y me contestó: «El fuego borra el rastro del camino, y si el alma de tu padrino anduviera errante de seguro que no encontraría el camino de vuelta». "></div>
<div style="margin-left:Pero todavía guardo memoria de otra costumbre que conocí en esa misma ocasión. Todos los asistentes al entierro fueron invitados al banquete. Los familiares comimos juntos en una sala de la parte de arriba de la casa. Los demás comieron en la pieza de la casa que llamábamos ''borda. ''Después de la comida nos avisaron que abajo iban a iniciarse los rezos y bajamos cada uno con nuestro vaso: en cada vaso debíamos dejar el equivalente a un dedal de vino. Yo tenía diez años y estaba muy inquieto. 0cm;"></div>
<div style="margin-left:Al entrar nosotros en 0cm;"></div>  <div style="margin-left:0cm;"></div>  <div style="margin-left:0cm;"></div> Le retour du cortège funèbre, ou du moins des membres du deuil familial, à la maison mortuaire, faisait autrefois partie de l'ensemble des rites funéraires. Les enquêtes réalisées par Barandiarán et ses collaborateurs dans le premier quart de ce siècle sur les « croyances et les rites funéraires » reflètent une société dans laquelle la maison et son groupe domestique jouent un grand rôle dans les rites funéraires et, de fait, ces derniers commencent et prennent fin dans la maison mortuaire. Cette pratique a pu être observée dans tous les territoires de Vasconia. C'bordaétait ainsi le cas dans les années vingt à Galarreta (A), où après l'ensevelissement du cadavre au cimetière, les gens « reviennent à l'se pusieron en pie todos los comensaleséglise et prient sur la sépulture de la maison du défunt. Ensuite le curé, accompagné du sacristain (qui porte la croix) et des personnes qui forment le cortège funèbre, cada uno con su vaso en revient à la mano maison mortuaire pour y las sirvientas retiraron los manteles réciter une prière, puis retourne immédiatement à l'église. Les parents du défunt invitent à déjeuner, si l'enterrement a eu lieu le matin, ou à goûter, s'il a eu lieu l'après-midi, tous les parents, les étrangers et une ou deux personnes de chaque maison du village »<ref>BARANDIARAN, José Miguel de la mesa. El chantre Victor Coustau « Creencias y ritos funerarios en Orozko, Ziortza (Zenarruza), Kortezubi, Otazu, Ataun, Arano, Ziga (Baztan), Otxagabia » in ''Anuario de Eusko Folklore''. Tome III. Vitoria : 1923, pp. 57 et 59.</ref>. À Ziga (Baztan-N), selon la casa Erretoraenea se descubrió même enquête (1923), les parents, ''barrides'' et les gens venus de loin, revenaient à la cabeza maison du défunt en respectant rigoureusement l'ordre de parenté. Tous étaient remerciés par un repas<ref>BARANDIARAN, José Miguel de. « Creencias y todos vaciaron el vino derramándolo sobre ritos funerarios en Orozko, Ziortza (Zenarruza), Kortezubi, Otazu, Ataun, Arano, Ziga (Baztan), Otxagabia » in ''Anuario de Eusko Folklore''. Tome III. Vitoria : 1923, p. 132. </ref>. À Beasain (G), jusque dans les années trente, le cortège revenait à la mesa; yo también hice lo mismo que los demásmaison du défunt en formant une file derrière le maître de maison vêtu d'une cape et d'un haut de forme. Después mojaron las yemas Un des informateurs de los dedos cette localité a ainsi dû présider à l'âge de 10 ans, étant l'aîné des hommes qui restaient dans la mano derecha en ese vino como si maison, le cortège de funérailles de son père. Il se tratara souvenait que sa mère avait dû relever le bas de agua bendita y se santiguaronla cape pour qu'elle ne traîne pas et bourrer le chapeau pour qu'il ne s'enfonce pas sur sa tête. Ce cortège était composé des membres de la maison, ''etxekoak'', et des parents venus d'autres villages pour lesquels un grand repas était préparé dans la propre maison.
:Me pareció tan raro ese gesto À Zeanuri (B), les plus anciens se souviennent que se me escapó soixante-dix ans plus tôt les membres du deuil familial à l'enterrement revenaient de l'église à la risamaison mortuaire en formant deux groupes : les hommes portant cape et chapeau et les femmes des voiles noirs. A mi tío no Sur le cayó bien aquella risa mía inoportuna y me dió chemin de retour, arrivés à un sopapocertain endroit, les hommes retiraient la lourde cape, el único que recibí de élsurtout en été. Era el 27 Tous prenaient part ensuite au repas de Marzo de 1911funérailles qui avait lieu à la maison.
:Más tarde llegué a preguntar al difunto Victor Coustau el porqué Dans un travail publié dans les années vingt<ref>D. ESPAIN. « Des usages mortuaires en Soule » in ''Bulletin du Musée Basque'', VI, 1-2 (1929) p. 24</ref> il est indiqué qu'en Zuberoa, après l'inhumation, tous les invités se rendaient à la maison mortuaire où leur était offerte une collation. Antan, cette dernière se composait uniquement de aquel derrame del vino y no conseguí pain et de él otra explicación que ésta: «Nuestros ancianos así lo hacían». Nadie podrá quitarme fromage avec le vin de la cabeza que aquella costumbre pagana que los romanos llamaban maison, mais déjà dans les années vingt il s'agissait d'libatio ''ha continuado en Ithorrotze y Olhaibiun repas. Pour terminer, si bien le chantre ou le sacristain récitait un poco cristianizada ya que se certain nombre de prières pour le añadió el signo défunt et « pour toutes les âmes qui étaient sorties de la cruz)maison », mettant ainsi fin à la cérémonie.
Le retour du cortège à la maison mortuaire encore en vigueur jusqu'à il y a trois ou quatre décennies se faisait dans l'ensemble d'Euskal Herria selon diverses modalités. À grands traits nous pouvons dire que dans les zones à habitat concentré où les maisons sont groupées à proximité de l'église —comme en Álava et dans la Navarre moyenne— tous les participants aux cérémonies funèbres, présidés par la croix paroissiale et accompagnés par le prêtre, revenaient à la maison d'où était sorti le cortège funèbre et, devant la porte, récitaient une prière qui mettait fin aux obsèques<div align="center"><nowiki>* * *</nowikiref>Les Constitutions de la Confrérie des Âmes du Purgatoire de Sangüesa (N), rédigées en 1798, se font écho de cette pratique lorsqu'elles prescrivent qu'après la messe de funérailles ses membres se rendront à la maison du défunt pour y réciter le répons.</divref>&nbsp;.
A lo largo del presente sigloLa famille du défunt offrait à ces assistants, y sobre todo en su segunda mitadà la porte de la maison, se han operado sucesivas modificaciones en el modo une collation de realizar el conjunto pain et de los actos que componían las exequias como se ha consignado vin, qui, en los capítulos anterioresÁlava, reçoit le nom de ''caridad''. Una Puis, à l'intérieur de estas alteraciones ha sido precisamente la anulación del regreso del cortejo fúnebre a la casa maison, les parents du défunt prenaient part au repas de donde partiófunérailles.
En la mayoría de las localidades se constata que actualmente el cortejo fúnebre se disuelve en el mismo cementerioDans les régions à habitat dispersé —Pays basque continental, una vez inhumado el cadáver. En otros casosGipuzkoa, sobre todo en las villas y ciudadesla Montagne navarraise et Bizkaia—, los asistentes al funeral se dispersan tras dar el pésame a la familia c'était les parents composant le deuil qui revenaient en el atrio de cortège à la iglesia inmediatamente después de finalizar el funeralmaison mortuaire où les attendait le banquet préparé pour l'occasion. Al acto de la inhumación en el cementerio asiste un grupo reducido Les autres assistants à l'enterrement recevaient, après les funérailles, une collation sous le porche ou à proximité de parientes y amigosl'église.
Nuestras encuestas han rescatado algunas tradiciones que permanecen en la mente y en el recuerdo La conclusion des obsèques était généralement liée à ces réfections et banquets. Il est intéressant de quienes las practicaron en otros tiempos. Pero a la vez constatan souligner ici que aquel retorno formal del cortejo a la casa mortuoria ha dejado c'est précisément lors de practicarse y ces banquets que los refrigerios y ágapes funerarios o bien se han suprimido omanifeste le plus clairement que les assistants à l'enterrement et aux funérailles forment deux groupes distincts : le groupe d'hommage, composé de ceux qui assistent aux obsèques en todo casoraison des obligations découlant de liens de consanguinité, et le groupe de charité, dont les membres assistent aux cérémonies par solidarité chrétienne<ref>José Miguel de BARANDIARAN. ''Estelas funerarias del País Vasco''. San Sebastián, 1970, se han convertido en p. 35.</ref>. Les repas différaient pour l'un simple gesto obsequiosoet l'autre groupe.
[[File:7Dans les deux cas, ces réfections se déroulaient selon un cérémonial conforme aux prescriptions d'un rituel, ce qui conduit certains auteurs à les considérer comme des banquets funèbres de lointaine origine<ref>Bonifacio ECHEGARAY. « Significación jurídica de algunos ritos funerarios del País Vasco », in RJEV, XVI (1925) pp. 102 et ss.195 Tras el entierroBarandiarán pour sa part nuance que les réfections ou les repas funéraires « aujourd'hui n'ont pas le contenu mystique d'antan ». Orexa 1977Cf.png|frame|Tras el entierro''Estelas funerarias del País Vasco''. OrexaSan Sebastián, 1977. Fuente: Iñaki Linazasoro1970, Grupos Etniker Euskalerriap.]]<div class="subindice">Apartados:=== [[Regreso_del_cortejo_a_la_casa_mortuoria|Regreso del cortejo a la casa mortuoria]] ====== [[Agapes_y_refrigerios_a_los_asistentes|Agapes y refrigerios a los asistentes]] ====== [[Obsequios_a_los_participantes_en_las_exequias|Obsequios a los participantes en las exequias]] ====== [[La_comida_de_entierro29._Entierro-bazkaria|La comida de entierro. Entierro-bazkaria]] ====== [[Apendice_Antiguas_restricciones_legales_sobre_banquetes_funebres|Apéndice: Antiguas restricciones legales sobre banquetes fúnebres]] ===</divref>.<br/>{{DISPLAYTITLE: XIX. REGRESO A RETOUR À LA CASA MORTUORIA Y MAISON MORTUAIRE ET AGAPES FUNERARIOSFUNÉRAIRES}} {{#bookTitle:Ritos Funerarios en Vasconia Rites Funéraires au Pays Basque| Ritos_funerarios_en_vasconia/fr}}&nbsp;
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