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<div style="margin-left:Nik hain bitxi kausitu nuen jestu hori, nun irria eskapatu baitzitzaitan. Osabari gaitzitu zitzaion ene irri zozoa eta zarta bat eman zautan, harenganik ukan dudan bakarra, 1911-ko martxoaren 27-an. 0cm;"></div>
<div style="margin-left:(Recuerdo que cuando murió mi abuelo en Ithorrotze había un cruce de caminos frente a una casa que llamábamos ''Serorateia0cm; ''allí un vecino nuestro quemó un montón de paja a la hora de conducir el cadáver a la iglesia. Más tarde pregunté al vecino para qué había hecho ese fuego y me contestó: «El fuego borra el rastro del camino, y si el alma de tu padrino anduviera errante de seguro que no encontraría el camino de vuelta». "></div>
<div style="margin-left:Pero todavía guardo memoria de otra costumbre que conocí en esa misma ocasión. Todos los asistentes al entierro fueron invitados al banquete. Los familiares comimos juntos en una sala de la parte de arriba de la casa. Los demás comieron en la pieza de la casa que llamábamos ''borda. ''Después de la comida nos avisaron que abajo iban a iniciarse los rezos y bajamos cada uno con nuestro vaso: en cada vaso debíamos dejar el equivalente a un dedal de vino. Yo tenía diez años y estaba muy inquieto. 0cm;"></div>
<div style="margin-left:Al entrar nosotros en 0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;"></div> Le retour du cortège funèbre, ou du moins des membres du deuil familial, à la maison mortuaire, faisait autrefois partie de l'ensemble des rites funéraires. Les enquêtes réalisées par Barandiarán et ses collaborateurs dans le premier quart de ce siècle sur les « croyances et les rites funéraires » reflètent une société dans laquelle la maison et son groupe domestique jouent un grand rôle dans les rites funéraires et, de fait, ces derniers commencent et prennent fin dans la maison mortuaire. Cette pratique a pu être observée dans tous les territoires de Vasconia. C'bordaétait ainsi le cas dans les années vingt à Galarreta (A), où après l'ensevelissement du cadavre au cimetière, les gens « reviennent à l'se pusieron en pie todos los comensaleséglise et prient sur la sépulture de la maison du défunt. Ensuite le curé, accompagné du sacristain (qui porte la croix) et des personnes qui forment le cortège funèbre, cada uno con su vaso en revient à la mano maison mortuaire pour y las sirvientas retiraron los manteles réciter une prière, puis retourne immédiatement à l'église. Les parents du défunt invitent à déjeuner, si l'enterrement a eu lieu le matin, ou à goûter, s'il a eu lieu l'après-midi, tous les parents, les étrangers et une ou deux personnes de chaque maison du village »<ref>BARANDIARAN, José Miguel de la mesa. El chantre Victor Coustau « Creencias y ritos funerarios en Orozko, Ziortza (Zenarruza), Kortezubi, Otazu, Ataun, Arano, Ziga (Baztan), Otxagabia » in ''Anuario de Eusko Folklore''. Tome III. Vitoria : 1923, pp. 57 et 59.</ref>. À Ziga (Baztan-N), selon la casa Erretoraenea se descubrió même enquête (1923), les parents, ''barrides'' et les gens venus de loin, revenaient à la cabeza maison du défunt en respectant rigoureusement l'ordre de parenté. Tous étaient remerciés par un repas<ref>BARANDIARAN, José Miguel de. « Creencias y todos vaciaron el vino derramándolo sobre ritos funerarios en Orozko, Ziortza (Zenarruza), Kortezubi, Otazu, Ataun, Arano, Ziga (Baztan), Otxagabia » in ''Anuario de Eusko Folklore''. Tome III. Vitoria : 1923, p. 132. </ref>. À Beasain (G), jusque dans les années trente, le cortège revenait à la mesa; yo también hice lo mismo que los demásmaison du défunt en formant une file derrière le maître de maison vêtu d'une cape et d'un haut de forme. Después mojaron las yemas Un des informateurs de los dedos cette localité a ainsi dû présider à l'âge de 10 ans, étant l'aîné des hommes qui restaient dans la mano derecha en ese vino como si maison, le cortège de funérailles de son père. Il se tratara souvenait que sa mère avait dû relever le bas de agua bendita y se santiguaronla cape pour qu'elle ne traîne pas et bourrer le chapeau pour qu'il ne s'enfonce pas sur sa tête. Ce cortège était composé des membres de la maison, ''etxekoak'', et des parents venus d'autres villages pour lesquels un grand repas était préparé dans la propre maison.
Le retour du cortège à la maison mortuaire encore en vigueur jusqu'à il y a trois ou quatre décennies se faisait dans l'ensemble d'Euskal Herria selon diverses modalités. À grands traits nous pouvons dire que dans les zones à habitat concentré où les maisons sont groupées à proximité de l'église —comme en Álava et dans la Navarre moyenne— tous les participants aux cérémonies funèbres, présidés par la croix paroissiale et accompagnés par le prêtre, revenaient à la maison d'où était sorti le cortège funèbre et, devant la porte, récitaient une prière qui mettait fin aux obsèques<div align="center"><nowiki>* * *</nowikiref>Les Constitutions de la Confrérie des Âmes du Purgatoire de Sangüesa (N), rédigées en 1798, se font écho de cette pratique lorsqu'elles prescrivent qu'après la messe de funérailles ses membres se rendront à la maison du défunt pour y réciter le répons.</divref> .