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REGRESO A LA CASA MORTUORIA Y AGAPES FUNERARIOS/fr

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<div style="margin-left:Al entrar nosotros en 0cm;"></div> Le retour du cortège funèbre, ou du moins des membres du deuil familial, à la maison mortuaire, faisait autrefois partie de l'ensemble des rites funéraires. Les enquêtes réalisées par Barandiarán et ses collaborateurs dans le premier quart de ce siècle sur les « croyances et les rites funéraires » reflètent une société dans laquelle la maison et son groupe domestique jouent un grand rôle dans les rites funéraires et, de fait, ces derniers commencent et prennent fin dans la maison mortuaire. Cette pratique a pu être observée dans tous les territoires de Vasconia. C'bordaétait ainsi le cas dans les années vingt à Galarreta (A), où après l'ensevelissement du cadavre au cimetière, les gens « reviennent à l'se pusieron en pie todos los comensales, cada uno con su vaso en église et prient sur la mano y las sirvientas retiraron los manteles sépulture de la mesamaison du défunt. El chantre Victor Coustau de Ensuite le curé, accompagné du sacristain (qui porte la casa Erretoraenea se descubrió croix) et des personnes qui forment le cortège funèbre, revient à la cabeza maison mortuaire pour y todos vaciaron el vino derramándolo sobre la mesa; yo también hice lo mismo que los demásréciter une prière, puis retourne immédiatement à l'église. Después mojaron las yemas Les parents du défunt invitent à déjeuner, si l'enterrement a eu lieu le matin, ou à goûter, s'il a eu lieu l'après-midi, tous les parents, les étrangers et une ou deux personnes de los dedos chaque maison du village »<ref>BARANDIARAN, José Miguel de la mano derecha . « Creencias y ritos funerarios en ese vino como si se tratara Orozko, Ziortza (Zenarruza), Kortezubi, Otazu, Ataun, Arano, Ziga (Baztan), Otxagabia » in ''Anuario de agua bendita y se santiguaronEusko Folklore''. Tome III. Vitoria : 1923, pp. 57 et 59.</ref>.
:Me pareció tan raro ese gesto que se me escapó À Ziga (Baztan-N), selon la même enquête (1923), les parents, ''barrides'' et les gens venus de loin, revenaient à la risamaison du défunt en respectant rigoureusement l'ordre de parenté. A mi tío no le cayó bien aquella risa mía inoportuna y me dió Tous étaient remerciés par un sopaporepas<ref>BARANDIARAN, el único que recibí José Miguel de él. Era el 27 « Creencias y ritos funerarios en Orozko, Ziortza (Zenarruza), Kortezubi, Otazu, Ataun, Arano, Ziga (Baztan), Otxagabia » in ''Anuario de Marzo de 1911Eusko Folklore''. Tome III. Vitoria : 1923, p. 132. </ref>.
:Más tarde llegué À Beasain (G), jusque dans les années trente, le cortège revenait à la maison du défunt en formant une file derrière le maître de maison vêtu d'une cape et d'un haut de forme. Un des informateurs de cette localité a preguntar al difunto Victor Coustau el porqué ainsi dû présider à l'âge de 10 ans, étant l'aîné des hommes qui restaient dans la maison, le cortège de aquel derrame del vino y no conseguí funérailles de él otra explicación son père. Il se souvenait que ésta: «Nuestros ancianos así lo hacían»sa mère avait dû relever le bas de la cape pour qu'elle ne traîne pas et bourrer le chapeau pour qu'il ne s'enfonce pas sur sa tête. Nadie podrá quitarme Ce cortège était composé des membres de la cabeza que aquella costumbre pagana que los romanos llamaban maison, ''libatio etxekoak''ha continuado en Ithorrotze y Olhaibi, si bien et des parents venus d'autres villages pour lesquels un poco cristianizada ya que se le añadió el signo de grand repas était préparé dans la cruz)propre maison.
<div align="center"><nowiki>* * *</nowiki></div>&nbsp;À Zeanuri (B), les plus anciens se souviennent que soixante-dix ans plus tôt les membres du deuil familial à l'enterrement revenaient de l'église à la maison mortuaire en formant deux groupes : les hommes portant cape et chapeau et les femmes des voiles noirs. Sur le chemin de retour, arrivés à un certain endroit, les hommes retiraient la lourde cape, surtout en été. Tous prenaient part ensuite au repas de funérailles qui avait lieu à la maison.
A lo largo del presente sigloDans un travail publié dans les années vingt<ref>D. ESPAIN. « Des usages mortuaires en Soule » in ''Bulletin du Musée Basque'', y sobre todo VI, 1-2 (1929) p. 24</ref> il est indiqué qu'en su segunda mitadZuberoa, après l'inhumation, tous les invités se rendaient à la maison mortuaire où leur était offerte une collation. Antan, cette dernière se han operado sucesivas modificaciones en el modo composait uniquement de pain et de realizar el conjunto fromage avec le vin de los actos que componían las exequias como se ha consignado en los capítulos anterioresla maison, mais déjà dans les années vingt il s'agissait d'un repas. Una Pour terminer, le chantre ou le sacristain récitait un certain nombre de prières pour le défunt et « pour toutes les âmes qui étaient sorties de estas alteraciones ha sido precisamente la anulación del regreso del cortejo fúnebre a maison », mettant ainsi fin à la casa de donde partiócérémonie.
En Le retour du cortège à la mayoría de las localidades maison mortuaire encore en vigueur jusqu'à il y a trois ou quatre décennies se constata faisait dans l'ensemble d'Euskal Herria selon diverses modalités. À grands traits nous pouvons dire que actualmente el cortejo fúnebre se disuelve dans les zones à habitat concentré où les maisons sont groupées à proximité de l'église —comme en el mismo cementerioÁlava et dans la Navarre moyenne— tous les participants aux cérémonies funèbres, una vez inhumado el cadáver. En otros casosprésidés par la croix paroissiale et accompagnés par le prêtre, sobre todo en las villas y ciudadesrevenaient à la maison d'où était sorti le cortège funèbre et, los asistentes al funeral se dispersan tras dar el pésame a devant la familia en el atrio porte, récitaient une prière qui mettait fin aux obsèques<ref>Les Constitutions de la iglesia inmediatamente después Confrérie des Âmes du Purgatoire de finalizar el funeral. Al acto Sangüesa (N), rédigées en 1798, se font écho de cette pratique lorsqu'elles prescrivent qu'après la inhumación en el cementerio asiste un grupo reducido messe de parientes funérailles ses membres se rendront à la maison du défunt pour y amigosréciter le répons.</ref>.
Nuestras encuestas han rescatado algunas tradiciones que permanecen en La famille du défunt offrait à ces assistants, à la mente y en el recuerdo porte de quienes las practicaron en otros tiempos. Pero a la vez constatan que aquel retorno formal del cortejo a la casa mortuoria ha dejado maison, une collation de pain et de practicarse y que los refrigerios y ágapes funerarios o bien se han suprimido ovin, qui, en todo casoÁlava, se han convertido en un simple gesto obsequiosoreçoit le nom de ''caridad''. Puis, à l'intérieur de la maison, les parents du défunt prenaient part au repas de funérailles.
[[File:7Dans les régions à habitat dispersé —Pays basque continental, Gipuzkoa, la Montagne navarraise et Bizkaia—, c'était les parents composant le deuil qui revenaient en cortège à la maison mortuaire où les attendait le banquet préparé pour l'occasion.195 Tras el entierroLes autres assistants à l'enterrement recevaient, après les funérailles, une collation sous le porche ou à proximité de l'église. Orexa 1977 La conclusion des obsèques était généralement liée à ces réfections et banquets.png|frame|Tras el entierroIl est intéressant de souligner ici que c'est précisément lors de ces banquets que se manifeste le plus clairement que les assistants à l'enterrement et aux funérailles forment deux groupes distincts : le groupe d'hommage, composé de ceux qui assistent aux obsèques en raison des obligations découlant de liens de consanguinité, et le groupe de charité, dont les membres assistent aux cérémonies par solidarité chrétienne<ref>José Miguel de BARANDIARAN. ''Estelas funerarias del País Vasco''. OrexaSan Sebastián, 19771970, p. Fuente: Iñaki Linazasoro, Grupos Etniker Euskalerria35.]]<div class="subindice"/ref>. Les repas différaient pour l'un et l'autre groupe.Apartados:=== [[Regreso_del_cortejo_a_la_casa_mortuoria|Regreso del cortejo a la casa mortuoria]] ====== [[Agapes_y_refrigerios_a_los_asistentes|Agapes y refrigerios a los asistentes]] ====== [[Obsequios_a_los_participantes_en_las_exequias|Obsequios a los participantes en las exequias]] ====== [[La_comida_de_entierroDans les deux cas, ces réfections se déroulaient selon un cérémonial conforme aux prescriptions d'un rituel, ce qui conduit certains auteurs à les considérer comme des banquets funèbres de lointaine origine<ref>Bonifacio ECHEGARAY._Entierro-bazkaria|La comida « Significación jurídica de entierroalgunos ritos funerarios del País Vasco », in RJEV, XVI (1925) pp. 102 et ss. Barandiarán pour sa part nuance que les réfections ou les repas funéraires « aujourd'hui n'ont pas le contenu mystique d'antan ». Cf. ''Estelas funerarias del País Vasco''. San Sebastián, 1970, p. 29. Entierro-bazkaria]] ====== [[Apendice_Antiguas_restricciones_legales_sobre_banquetes_funebres|Apéndice: Antiguas restricciones legales sobre banquetes fúnebres]] ===</divref>.<br/>{{DISPLAYTITLE: XIX. REGRESO A RETOUR À LA CASA MORTUORIA Y MAISON MORTUAIRE ET AGAPES FUNERARIOSFUNÉRAIRES}} {{#bookTitle:Ritos Funerarios en Vasconia Rites Funéraires au Pays Basque| Ritos_funerarios_en_vasconia/fr}}&nbsp;
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