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LOS RITOS FUNERARIOS EN IPARRALDE/fr

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Il est bien difficile de se prononcer sur ce thème. Hormis la lecture chrétienne (''jainkoaren nahia'') ou fataliste (''azken orena'', ''azken ozka''... ) la mort est « vécue » a la fois comme une présence et comme un départ. A vrai dire il s'agit là d'interprétations fondées sur des traces, des façons de faire qui semblent avoir été largement partagées dans des temps « plus anciens ».
La présence est celle d<nowiki>'</nowiki>''Herioa''. Lorsqu'il vient chercher la personne tout le monde doit être sur ses gardes: on fait lever les bêtes à l'étable. Cette venue peut laisser comme une empreinte qu'un feu effacera, purifiera.
Le départ c'est celui de « l'âme » ou de « l'esprit », ''izpiritua'', ''arima'', qui accompagne l'émission du dernier souffle, ''azken hatsa''. C'est dans cette optique que l'on retirait parfois une tuile du toit et que l'on continue d'ouvrir la fenêtre ou la porte de la chambre de celui qui vient de mourir. Le mort nous a quitté, ''joan zauku'', mais sa dépouille n'est pas inoffensive, on doit lui fermer les yeux au plus vite afin d'éviter qu'il appelle quelqu'un.
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