Cambios

Saltar a: navegación, buscar

Preambulo Medicina popular en vasconia/fr

22 bytes eliminados, 10:47 3 ene 2018
sin resumen de edición
Tout au long du vingtième siècle, la médecine scientifique a connu une extraordinaire progression, qui s’est accélérée chaque décennie, et cela au détriment des pratiques basées sur la médecine traditionnelle. Des instances autorisées en sont pourtant venues à affirmer qu’“il y a très peu d’erreurs dans la médecine populaire; dans de nombreux cas, leur utilisation (des plantes) est justifiée par les propriétés qu’elles possèdent selon la littérature scientifique. Et dans le cas des quelques plantes que nous avons sélectionnées pour vérifier (...), parce que leurs propriétés ne figuraient pas dans ces textes en dépit de leur fréquente utilisation dans des lieux géographiquement dispersés, leur action supposée a pu être prouvée»<ref>Margarita FERNÁNDEZ. “Medicina popular navarra” in ''Zainak. Cuadernos de Antropología-Etnografía'', XIV (1997) p. 35.</ref>.
La fonction remplie autrefois par les guéris­seurs guérisseurs constitue un aspect intéressant de la médecine populaire. Les personnes qui avaient la capacité de guérir jouissaient d’une considération importante avant que ne se généralise le personnel sanitaire doté d’une formation scientifique. Les guérisseurs appar­tiennent appartiennent à des sagas familiales, ce qui donne lieu à une transmission familiale du savoir, de personne à personne. Mais aussi bien ces gué­risseurs guérisseurs que d’autres personnes liées à la gué­rison guérison des maladies ont perdu leur rôle de pre­mier premier plan au fil du vingtième siècle, au fur et à mesure que le personnel sanitaire croissait en nombre et occupait leur place. Aujour­d’huiAujourd’hui, certes, ils restent présents, même si leur importance n’est plus la même. Ceux qui s’a­dressent s’adressent à eux le font généralement pour trai­ter traiter une maladie qui résiste à la médecine con­ventionnelleconventionnelle. Actuellement, nous observons aussi un essor des consultations relevant de disciplines étrangères à la médecine allopathi­que allopathique comme la naturopathie, l’homéopathie, les massages, la diététique et la beauté, les her­boristeriesherboristeries, etc...
Autrefois, on gardait à la maison des remè­des pour soigner de petites blessures, des onguents pour les brûlures et des plantes pour faire des inhalations ou préparer des infusions. Les remèdes d’origine végétale jouissaient d’une grande faveur. Dans le jar­din familial, certaines plantes étaient cultivées à des fins thérapeutiques mais la majorité des simples étaient cueillis dans les champs ou à la montagne. Pour que leur efficacité soit plus importante, certaines de ces plantes devaient être cueillies à des occasions spécia­les, le jour le plus propice étant peut-être le matin de la Saint-Jean, avant que le soleil ne se lève.
127 728
ediciones