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FRACTURAS Y LUXACIONES/fr

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Texto reemplazado: «La Médecine Populaire au Pays Basque» por «Médecine Populaire au Pays Basque»
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En Gautegiz<div style="margin-Arteaga (B) para referirse a los músculos se habla de ''okelak''. En cuanto a los huesos se les denomina genéricamente como ''azurrak''. Se distinguen ''buruko azurrak'', huesos de la cabezaleft:0cm; ''matrailazurra'', mentón; ''bularrazurra'', esternón; ''sorbalazurra'', hueso del hombro; ''saietsak'', costillas; ''bizkerrazurra'', espina dorsal; ''besoko azurrak'', huesos del brazo; ''ukondoa'', codo; ''eskuturra'', muñeca; ''epermakurra'', hueso de la cintura; ''izterrazurra'', fémur; ''belaunburua'', rodilla; ''beleun-azurra'', rótula; ''bernazurra'', tibia; ''orkatilla'', tobillo; y ''beatzazurrak'', huesos de los pies."></div>
En Carranza Les informateurs ne font généralement pas de différence entre les divers os, les muscles ou les articulations qui composent le corps humain car ils ne les distinguent pas en tant qu'unités anatomiques. Il s'ensuit qu'ils n'ont habituellement pas de nom pour elles. On a recours à des dénominations génériques comme ''carne ''en espagnol ou ''haragiak ''en basque (Bermeo-B) el esqueleto y los músculos son las partes más desconocidas del cuerpopour désigner les masses musculaires humaines. Prácticamente no se sabe el nombre de ningún músculo y À Bermeo ils utilisent ce terme en cuanto a los huesos se hace referencia a los mismos por opposition à ''okelea'', viande, qui s'emploie pour nommer les viandes animales pour la situación que ocupan en el cuerpoconsommation humaine. Dans cette même localité biscayenne uniquement dans le cas des os on recueille certaines dénominations populaires. ''Hazurrak ''est le terme employé pour les désigner. La moelle osseuse est appelée ''hazurreko une ''; le crâne, sin asignarles una denominación específica. Así se dice ''huesos de kalaberea ''ou ''karabelea ''; et la cabezacolonne vertébrale, ''lepoko bizkerra'', ''del brazobizkarreko hazurra'', ''bizkazurra'', ''errosarioa ''et '' o espiñazoa''. == Les fractures osseuses == Les fractures, généralement d'origine traumatique, sont traitées ces derniers temps par le personnel de santé. Mais certains remèdes populaires sont connus depuis toujours pour recomposer les os et, comme nous allons le voir plus avant, il a souvent été fait appel à des rebouteux spécialistes de ces problèmes. La plupart des remèdes font référence à la caderapose d'une attelle sur l'os fracturé. En la cabezaMais divers traitements préalables à cette opération ont été recueillis, qui dans quelques cas semblent être les seuls, c'est-à-dire, como queda dichoqu'il n'y avait pas de pose d'attelle ensuite. == Les rebouteux, hezur-konpontzaileak == Les rebouteux qui se conoce a todos los chargeaient de réduire les fractures et de guérir les luxations ont été des personnages bien connus dans la majeure partie du territoire étudié. Chaque village ou chaque zone avait le sien auquel avaient recours les patients des localités environnantes. Certains étaient si réputés que componen el neurocráneo con el nombre genérico les patients venaient de très loin. N'oublions pas non plus qu'huesos de la cabezail était habituel que les guérisseurs appartiennent à une lignée familiale et que certains d'entre eux commençaient à se former à ces tâches en recomposant les os du bétail pour passer ensuite à ceux des personnes. == Foulures, zaintiratuak, et luxations, bihurdurak == Au niveau populaire aucune différence claire n'; a veces también se emplea est faite entre la expresión foulure, l'entorse ou le claquage d'tapa un côté et la luxation ou la dislocation de los sesos'l'autre. En el esplacnocráneo no se diferencia ningunoDe fait, a lo sumo los nasales, a los que plusieurs de ces termes se designa conjuntamente como sont introduits dans le langage populaire ces derniers temps à force de les entendre au personnel de santé et dans les médias. === Remèdes pour les entorses === À Agurain (A) pour soigner les entorses et les contusions on prépare une décoction de feuilles de noyer. Après avoir fait bouillir de l''huesos de eau avec les feuilles, on introduit la narizpartie endolorie dans ce liquide le plus chaud possible et on l'y maintient pendant un quart d'heure environ. En el tronco se conoce la existencia del  À Goizueta (N), pour l'entorse, ''esternónbiurritzea'' y las , au pied il fallait appliquer de la chaleur sur la zone touchée. On chauffait de la farine de maïs dans une poêle jusqu'à ce qu'costillaselle dore et ensuite on l'introduisait dans une poche qui était appliquée sur l'entorse. Se sabe que Entretemps on préparait une autre poche pour remplacer la première quand elle refroidissait. == Annexe : zantiratua == ''espinaZantiratua '' está articulada est une pratique populaire qui présente trois composantes : une, empirique, consiste en frictions et frottements d'huile qui sont exécutés avec les doigts dans la zone touchée ; une autre, d'vértebras'ordre magique, qui symbolise le renouage par la couture d'un linge et une troisième, e incluso se comienzan a distinguirde nature religieuse, aunque precariamente, las divisiones qui fait référence aux prières qui sont récitées pendant la pratique et aux signes de croix qui sont faits sur la columnalésion. Cette pratique est utilisée fondamentalement pour les claquages du genou et du poignet, mais parfois aussi pour le torticolis. À en juger par les lieux où elle a été enregistrée il semble s'agir d'une pratique biscayenne. Este conocimiento suele ser fruto Un des foyers de la información que reciben cette coutume a été justement les villages de Gernika, Ajangiz, Maruri, Gerrikaiz et Bedia<ref>Jose Miguel de los médicosBARANDIARAN. Así, cuando acuden a un centro sanitario con dolor en ''la cruzMitología vasca. ''Madrid : 1960, en el cuello, o con ''dolor ''p. 44.</ref>. Cette pratique reçoit le nom de riñones''zantiretua ''/ ''zantiritua ''à Abadiano, Bermeo, Busturia, Durango, se les habla Gorozika (B) et de vértebras cervicales y lumbares respectivamente''zanatena ''à Lemoiz (B).  En cuanto basque, le terme ''zain ''a los huesos le sens de nerf, veine ou racine et le mot signifie donc étirement du nerf ou de la veine, en consonance avec plusieurs traitements, puisque les phrases prononcées et les gestes réalisés devant le malade indiquent que forman las extremidades, al coxal telle était l'idée que l'on se le llama faisait de la pathologie de la lésion<ref>Angel GOIKOETXEA. ''hueso Capítulos de la caderamedicina popular vasca'' y al omoplato. Salamanca : 1983, p. 104.</ref>. Cette pratique présente quelques constantes comme le fait d'être réalisée par des femmes. Dans les différents villages où elle a été recueillie se répète également l'usage d'une plante qui reçoit le nom de ''zanbedarra ''(littéralement herbe à tendon). En réalité il s'agit d' au minimum deux espèces appartenant au genre ''paletillaPlantago'', qui se caractérisent par leurs feuilles lancéolées au revers desquelles sont clairement visibles des nervures qui vont en parallèle de la base à la pointe. También Il se conoce peut que tant leur nom que leur application curative soient liés à cette similitude entre leurs nervures et les veines et les tendons qui parcourent les extrémités humaines. Selon Barriola, si à la suite d'un exercice violent ou pour tout autre motif une douleur musculaire apparaissait, le guérisseur diagnostiquait une déchirure, ''clavículazaintiratua'' y la rótula se denomina , ou une désinsertion du tendon, ''tapa de la rodillazanetena''. Los nombres Il semblerait logique de los seis huesos largos que conforman las extremidades superiores e inferiores penser qu'une telle déchirure pouvait se van aprendiendo poco a poco y a fuerza réparer en donnant quelques points pour réunir les parties séparées. Mais comme cette opération était impossible à effectuer directement sur le propre tendon ou le muscle, grâce à la magie de similitude, il suffisait de fracturasla réaliser sur un tissu quelconque placé sur la lésion. En lo referente a los músculosAinsi, como ya le ''zaintiratua ''se indicósoignait en donnant des points avec une aiguille et un fil non noué, existe avec laquelle on traversait plusieurs fois un total desconocimiento y tissu, ou mieux une chaussette, et non seulement pour traiter la jambe ou le pied, mais aussi en general se les designa como cas de torticolis, pendant que le guérisseur récitait : :''Zain tiratu zain urratu''carne:''zaña bere tokian sartu. Por ejemplo'' :(Tendon étiré/ tendon déchiré/ le tendon rentre à sa place). L'opération se terminait en récitant normalement un Notre Père, si alguien padece un dolor muscular Ave María ou un Credo, selon les lieux, et en el brazocouvrant le membre avec le même linge, après une friction, ou avec du plantain, ''zainbedarra'', dice sencillamente que imbibé d'huile. Dans le “duele cas du torticolis, en traversant la carne del brazo” para diferenciarlo del que pudiera proceder del huesotoile avec l'aiguille on parvenait à dénouer le nœud qui se s'était formé, entonces se habla de plutôt que duele “la caña del brazo”.“coudre” la distension<div class="subindice"ref>=== [[Fracturas_oseas|Fracturas óseas]] ====== [[Curanderos_de_fracturas_hezur-konpontzaileak|Curanderos de fracturasIgnacio Mª BARRIOLA. ''La medicina popular en el País Vasco. ''San Sebastián : 1952, hezurpp. 85-konpontzaileak]] ====== [[Esguinces_zaintiratuak_y_luxaciones_bihurdurak|Esguinces, zaintiratuak, y luxaciones, bihurdurak]] ====== [[Curanderos_de_luxaciones|Curanderos de luxaciones]] ====== [[Golpes|Golpes]] ====== [[Apendice_Zantiratua|Apéndice: Zantiratua]] ===86</divref>.  {{DISPLAYTITLE: XVI. FRACTURAS Y LUXACIONESFRACTURES ET LUXATIONS}} {{#bookTitle: Medicina Popular en Vasconia Médecine Populaire au Pays Basque| Medicina_popular_en_vasconia/fr}}
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