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LA FABRICACION DEL QUESO. GAZTAGINTZA/fr

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De los pastores façon générale, il a été constaté qu'autrefois les bergers élaboraient, et dans une bonne mesure continuent à élaborer, du fromage au pâturage d'été, dans leurs cabanes de montagne. Les méthodes utilisées dans sa fabrication étaient similaires partout. Lors de la transhumance, ils faisaient le fromage là où ils s'installaient. Dans de nombreux endroits, le lait était quotidiennement descendu de Oñati (G) recogió el Pla montagne où se trouvait le berger avec le troupeau jusqu'à la ferme pour que les autres membres de sa famille fabriquent le fromage à la maison avec des ustensiles et des procédés semblables à ceux de la cabane du berger ; mais parfois les moyens utilisés là étaient plus modernes. Lizarralde  Le fromage le plus commun était élaboré avec du lait de brebis, mais il a été recueilli, surtout en los años veinte Álava, que para quelquefois la coutume était d'utiliser du lait de chèvre. Dans les maisons, du fromage de vache était élaboré aux époques d'excédents de production pour la consommation domestique et la vente locale, avant que ne se généralise la vente du lait aux centrales laitières. En début de saison, il faut plus de lait pour fabriquer la même quantité de fromage de brebis que un queso fuera bueno debían cumplirse las siguientes condiciones: no sonar a huecoplus tard, car, au fil du temps, no resudar y no abrirsele lait devient plus épais et riche en matière grasse. Era bueno el que tenía corteza delgada y miga mantecosaAinsi, à Triano (B), Ernio (G) et Aldatz et Larraun (N), les informateurs signalent qu'au début il faut environ six litres de lait de brebis pour élaborer un kilo de fromage. Dans la zone de l'azal meea ta barru ezeaOiz et d'Orozko-Gorbea (B), goipetsuails indiquent que cinq litres sont nécessaires pour obtenir une pièce d'un kilo et que plus tard quatre litres suffisent ; à Nabarniz (B) avec deux litres, ils élaborent une pièce qui pèse un peu plus d'une livre. Au Gipuzkoa, lors des 90 premiers jours de production, avec sept litres de lait on obtenait un kilo de fromage bien fait et il n'malo el en fallait que al partir con cuchillo se deshacíaquatre pour obtenir également un kilo les jours restants de production, qui duraient quelque 90 autres jours<ref>Ignacio GALLASTEGUI. «Quesos de oveja» in ''Munibe''mami elkorra, I (1951) pp. 155-157. Selon cette communication, la Députation de Gipuzkoa disposait en 1951 de l'École de Laiterie de Fraisoro pour faire connaître la technique d'élaboration des fromages. L'y con el tiempo auteur défendait un enseignement ambulant, comme celui qui, des années auparavant, avait été testé à Oñati, à destination des bergers et des éleveurs des alentours, car il se agusanabalamentait des défauts de fabrication alors que la matière première était si bonne. Cf. aussi, du même auteur : «Industrias derivadas de la leche» in ''ustelduConferencias de la Semana Alavesa Agro-Pecuaria''. Vitoria : 1923, pp. 3-28.</ref>Los datos referentes . De la bouche des bergers d'Oñati (G), le P. Lizarralde a esta localidad han sido tomados recueilli dans les années vingt que pour qu'un fromage soit bon les conditions suivantes devaient être remplies : ne pas sonner creux, ne pas suer et ne pas s'ouvrir. Celui qui avait une croûte fine et un intérieur onctueux était bon ; mais si en le coupant il s'effritait, il était mauvais car ensuite il allait être gagné par les vers. Au début du XXe siècle, on disait que pour qu'une brebis soit une bonne laitière il fallait lui procurer de l'herbe foncée ; mais pour lui faire donner du lait épais et gras elle devait manger de l'herbe de José pré. On pensait, comme c'est aussi le cas aujourd'hui, que l'herbe d'un pré ensoleillé valait mieux que celle d'une zone d'ombre. Les fromages faits avec du lait de brebis pâturant en montagne comme à Urbia (N), Aralar (N et G) et Gorbea (Aet B) étaient très réputés. Autrefois, les fromages élaborés dans les pâturages de montagne étaient conservés dans des grottes, voire même y étaient fabriqués, comme il a été constaté dans quelques-unes de nos enquêtes (Gorbea, Ganekogorta-B, Urbia-G et Zuberoa). Dans certaines pâtures de la zone d'Urbia et d'Urbasa, il était traditionnel de fumer intensément le fromage en utilisant en brûlant pour cela du bois du bois d'aulne, de merisier, de bouleau ou similaire ; l'important est que le bois soit humide car il faut de la fumée sans flamme. Avec ce procédé, d'une durée variable, le fromage brunit jusqu'à prendre à la fin une ton rouge-noir.  == Élaboration du fromage de LIZARRALDEbrebis, ardi-gazta == Dans la Vasconia humide et dans le nord du versant méditerranéen, à proximité de la ligne de division des eaux, la fabrication de fromage de brebis avait lieu dans les cabanes de montagne. «Establecimientos humanos Parfois, cette élaboration se produisait à la ferme si le village où vivait la famille du berger était proche de la zone de pâturage car alors il était facile d'y zonas pastorilesporter le lait issu de la traite ; de même quand le troupeau restait dans les pâturages bas d'hiver. Ces troupeaux se composent de brebis principalement lacha/manech, qui est une race laitière, tandis que sur une grande partie du versant méridional de Vasconia la race prédominante est la rasa, ou d'autres races, pour l'élevage et la vente de viande. Villa  == Marché du fromage == Traditionnellement les fromages frais étaient vendus sur les marchés locaux les plus proches du lieu de Oñate» in AEFleur fabrication, ou livrés à des commerces, dans les auberges et à des clients habituels. La situation est la même pour les fromages secs, mais ces derniers se vendent aussi à la cabane ou dans les fermes où ils sont élaborés et souvent commandés d'avance. Aujourd'hui, ces coutumes perdurent, même si la tendance est de les vendre sur commande ou aux gens qui viennent les chercher dans les fermes, VII (1927) ppvoire sur les marchés. 95 == Transitions contemporaines == Une évolution importante qu'a connue la fabrication du fromage est que vers le milieu du XXe siècle s'est généralisée, sur presque tout le territoire de Vasconia l'introduction de la presse pour expulser le petit-97lait.</ref>En dehors de cette innovation, l'exigence de mesures d'hygiène et la vente de lait aux centrales laitières, parmi d'autres raisons, a entraîné la quasi disparition des ustensiles en bois et leur remplacement progressif par des objets métalliques.
En los comienzos del siglo XX se decía que para que una oveja fuera buena productora de leche había que procurarle hierba oscuraAujourd'hui, un peu partout la fabrication du fromage s''pranses-belarra; ''pero si lo que se buscaba era que diera leche gorda y grasienta debía comer hierba de pradoest repliée sur la consommation familiale et le lait produit est vendu aux grandes fromageries. Se pensaba, como también hoy día, que era mejor el pasto Il a aussi été constaté de zona soleada façon générale que el de umbría. Tenían gran consideración los quesos hechos con leche de oveja que pastara en altura<ref>Sobre este punto de si autrefois les fromages étaient salés sur la mayor estima de que han gozado los pastos de altura véase también croûte ou mis en esta misma obra el capítulo «La subida con el rebaño al monte».</ref> como Urbia (N)saumure, maintenant on ajoute du sel au lait dès le début, Aralar (N y G) y Gorbea (A y B)au moment d’effectuer le brassage.
En tiempos pasados los quesos elaborados en las majadas pastoriles se conservaban en cuevas o incluso se fabricaban en ellas tal y como se ha constatado en algunas de nuestras encuestas (Gorbea, Ganekogorta-B, Urbia-G y Zuberoa)<ref>En la sierra alavesa de Elgea-Urkilla existe un lugar con el topónimo Gaztarri, en el que se conserva un orificio tallado en roca viva que en tiempos pasados pudo servir para la elaboración de piezas de queso. Luis del BARRIO. «Noticia de una quesera tallada en roca viva, en el lugar de Gaztarri, en la sierra de ElgeaUrkilla (Araba)» in AEF, XXXIV (1987) pp. 79-82.</ref>.
En algunas majadas de la zona de Urbia y Urbasa ha habido costumbre de ahumar intensamente el queso y la mejor forma de hacerlo era quemando madera de aliso, cerezo, abedul o similar; lo importante es que la madera sea húmeda ya que se necesita humo sin llama. Mediante este proceso, de duración variada, el queso se amarillea adquiriendo al final un tono rojinegro.<div class="subindice">Apartados:=== [[Elaboracion_de_queso_de_oveja_ardi-gazta|Elaboración de queso de oveja, ardi-gazta]] ====== [[El_mercado_de_los_quesos|El mercado de los quesos]] ====== [[Elaboracion_de_queso_de_cabra_ahuntz-gazta|Elaboración de queso de cabra, ahuntz-gazta]] ====== [[Transiciones_contemporaneas2|Transiciones contemporáneas]] ====== [[Otros_productos_lacteos|Otros productos lácteos]] ====== [[Apendice_1__La_jornada_del_pastor_de_Ataun-Aralar_(G)_durante_la_fabricacion_del_queso|Apéndice 1: La jornada del pastor de Ataun-Aralar (G) durante la fabricación del queso]] ====== [[Apendice_2__Metodo_tradicional_de_elaboracion_manual_del_queso_de_montaña|Apéndice 2: Método tradicional de elaboración manual del queso de montaña, ''bortü-gazna'', en Zuberoa]] ===</div><br/>{{DISPLAYTITLE: XX. LA FABRICACIÓN DEL QUESOFABRICATION DU FROMAGE. GAZTAGINTZA}} {{#bookTitle:Ganadería y Pastoreo en VasconiaÉlevage et Pastoralisme au Pays Basque |Ganaderia_y_pastoreo_en_vasconia/fr}}&nbsp;
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