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Quand une famille avait un enfant présentant une tare, on ne disait pas grand chose. Mais dans le village, ou dans le voisinage, on disait: ''"A! Ba! Jainkoaren punimendia..." ''On le disait d'autant plus facilement que dans cette famille on n'avait pas toujours "suivi le droit chemin" (d'oú l'allusion á la punition de Dieu).
Il y avait des gens diminués. On les gardait á la maison. On ne leur prétait pas une "attention par- ticuliéreparticuliére".
'''II. 199. ''FIANCAILLES, MARIAGE ET NOCE: ''QUELS MOYENS ET QUELLES RESSOURCES ADOPTE-T-ON POUR CAPTER LA VOLONTÉ D'UN HOMME OU D'UNE FEMME DÉTERMINÉE OU POUR S'ÉLOIGNER ET ROMPRE LES RELATIONS? '''
On ne rompait pas de fianlailles, si ce n'est pour une faute tres grave. Souvent on réglait les situa- tions situations devant des hommes de la commune, jugés respectables (de nos jours on irait voir un notaire).
'''II. 201. CÉLIBAT. SES RAISONS ET SA FRÉQUENCE POUR CHAQUE SEXE (STATISTI- QUES). SORT ET MODE DE VIE DES VIEILLES FILLES. LES VIEUX GARGONS, FONT-ILS L'OB- JET OBJET DE MOQUERIES? CROIT-ON QUE LE MARIAGE ET LA PROCRÉATION SONT OBLIGATOIRES? '''
Il y avait des célibataires, souvent des cadets; autant de filies que de garwns. L'ainé restait á la maison, le second était automatiquement curé ou bonne-soeur; combien revenaient ainsi du séminai- re séminaire sans vouloir continuer... L'enfant destiné aux ordres pouvait peser (financiérement) sur de peti- tes petites maisons; on acceptait cela de bon coeur, c'était "pour le Bon Dieu".
On considérait qu'une personne célibataire avait raté sa vie. Il y a vait plus de célibataires hommes (60%).
Un homme célibataire, on disait ''gaizoa, ''dans le sens d'un "pauvre homme"; il n'avait pas réussi á accrocher les femmes. On dit ''donadoa, ''au célibataire.
On plaignait le couple sans enfant ''"O! Gaixo emaz- tia emaztia haurra nahi ta ezin ukan!" ''Personne ne disait ouvertement qu'il ne voulait pas d'enfant; ils auraient été excommuniés... . Une famille de 5-6 enfants était une famille normale. ( "quel dommage qu'ils n'aient qu'un seul enfant" entend-onentendon).
A la femme célibataire on dit ''mutxurdina. ''Ce n'est pas un terme péjoratif encore que 1'on puisse dire "avoir des idées de mutxurdin". Tout autre est le qualificatif de ''mutxurdin zaharra. ''
Autrefois, mieux valait étre une femme mariée, et avec des enfants, qu'une femme célibataire. Quant á l'homme célibataire, fi était toute la vie domestique... Et puis il y avait aussi ces filies "pla- céesplacées", comme on disait, c'est á dire "bonnes" dans des maisons. Personne n'en voulait pour ainsi dire. J'en ai connu une qui devait se marier avec X... mais tout fut fait pour empécher le mariage. Finalement, un jour elle se maria mais elle resta toute sa vie ''gaixoa; ''on la trainait dans la boue... ", elle ne se mafia pas avec X... car ses parents á lui, empéchaient le mariage. Et le curé ne resta pas inactif dans cette histoire.
Autrefois il n'y avait aucune histoire sur la mau- vaise mauvaise conduite possible de curés. On remarquait toutefois que de jeunes missionaires revenus d'Afrique, pouvaient se payer des voitures... et sor- tir sortir toujours avec la méme fille...
On racontait des histoires de famille ou autres.
Ainsi, bien des hommes allaient voir des femmes les samedis soirs; on racontait les histoires en nom- mant nommant les gens. Ainsi X... qui était tres "coquin" faisait l'objet de plusieurs histoires. Un jour il va dans une maison voir la famille. La mere avait la chambre au bout du couloir, la fille, á l'autre. La mere entend "cric, cric, cric"; elle sort de sa chambre et dit: ''"Erran Maieder, zer da zantz hori ''?", alors la filie lui dit: ''"Sagiak ama" ''(la mere lui demande: quel est ce bruit, et la filie répond: des souris) enfin c'était les souliers vernis de son amoureux.
On racontait des histoires de ''laminak ''etc. mais guére durant ''artho-xuritzea. ''Ces histoires se racontaient plutót lors de réunions de famille, entre adultes. Les enfants, á partir de 11 ans, écoutaient éventuellement. Les adultes étaient friands de ces histoires. Ils disaient aussi que lorsque l'on entendait tapper contre le mur de la chambre, c'était le dernier mort de la famille qui venait; on l'a entendu dire plus d'une fois.
Il y avait une présence continuelle des morts. Au fond de notre cour on entendait un souffle, ''hatsa, ''et j'avais une vieille tante qui venait passer la soirée avec nous. Elle venait de chez elle á pied, á 150 m. environ. On devait la raccompagner car elle disait: "J'ai encore entendu de souffle et je suis súre que c'est ''arima erratia... " ''Elle nous faisait peur! On allait á deux la raccompagner. Il est vrai qu'elle venait de perdre son mari. Dans les histoires on ne décrit jamais les morts; on ne parle que des bruits (pas des bruits liés aux animaux... ). A part les conteurs, ce sont les femmes qui racontent ce type d'histoire. Les hommes n'en parlaient jamais; le curé semblait á l'écart de cela (cette vieille tante dont il vient d'étre question, ne parla jamais au curé de ''"hatsa"). ''
Il y avait des histoires á propos des cheminées et de toutes sortes d'orifices qui faisaient communi- quer communiquer la maison avec le monde extérieur. Ainsi on a en mis des chiffons dans le trou de la serrure pour ne pas ''qu'arima erratia ''passe, car ''arima erratia ''pou- vait pouvait entrer dans les maisons.
De toutes ces histoires il y avait une dominante: on pouvait rire, dire n'importe quoi, mais ne jamais faire allusion au curé, on ne touchait pas au curé!
Le chapelet se récitait en famille dans la cuisine. Des le souper terminé, ''etxeko nausia ''se lavait les pieds dans ''bertza oú ''on chauffait l'eau avant d'aller á table (quand ce n'était pas avec l'eau de la vaisse- llevaisselle, mais cela date d'il y a fort longtemps á ce que l'on nous disait). Tout le monde, homme, femme et enfants se mettaient á genoux autour de la che- minée cheminée et on récitait le chapelet sous la direction de ''1' etxeko andere. ''Cette pratique était encore connue dans l'entre-deux-guerres. Et puis tout le monde allait se coucher.
Les fácheries étaient héréditaires, il y avait des haines entre maisons et les enfants assuraient la suite. Mais cela était autrefois (début du siécle?). Cependant certaines familles se disputaient (des maisons se disputaient).
Autrefois les gens se comportaient comme des sauvages. Il y avait des bagarres á coups de ''makila. ''Les gens revenaient avec des balafres. Ils se battaient méme avec les parapluies. Un jour, au retour du marché, á la maison D... qui faisait café et bar, "j'ai vu un homme en tuer un autre avec un parapluie. J'avais 12 ans. C'était devant la porte". L'aubergiste sortant lui disant "tu as vu ce que tu as fait? Tu te rends compte?" Les gendarmes l'amené- rent amenérent en prison. C'était une bagarre de retour de marché, entre hommes qui avaient bu. En plus ces deux jeunes étaient de familles fáchées entre elles.
Il n'y avait pas d'alcoolisme dans le village, á vrai dire. On ne buvait que du vin; on en buvait bien. Mais de nos jours c'est tres différent (deux cafés á Lekumberri... ).
'''II. 205. DEMANDE EN MARIAGE. EST-CE UNE COUTUME QUE LES PARENTS ARRANGENT LE MARIAGE DE LEURS ENFANTS SANS COMPTER SUR LA VOLONTÉ DE CES DERNIERS? OU, METTENT-ILS DES OBSTACLES Á LA VOLONTÉ DE LEURS ENFANTS? '''
Le mariage était tres souvent "arrangé" et on devait se soumettre (ou partir). C'était ainsi autre- foisautrefois. En fait la décision était celle du pére; la mere comptait peu, elle s'effacait. C'était la regle. Le pére commandait; les maitres vieux suivaient éga- lementégalement, il n'avaient aucune autorité. Ils étaient tres bien traités, surtout si c'était la filie qui avait la mai- sonmaison. Mais méme de nos jours, les personnes ágées ne sont pas envoyées dans les maisons de retraite; on les soigne á la maison. Mais de nos jours, il y a du changement. Le témoin cite la maison X... oil le vieux maitre est parti dans une maison de retraite.
Les vieux restaient au coin du feu. La vieille maman tricotait et raccommodait.
Le curé avait un grand poids dans les arrangements de famille. Mais il y avait aussi une question de rang, kunza; on faisait également attention au visage allongé avec le menton "en galoche", on considérait cela comme une tare, quelque chose "dans le sang" de la famille.
Instituteur et curés jouaient le role de consei- llersconseillers, surtout le dernier. Ceci avivait les querelles entre ''Xuri ''et ''Gorri ''d'autant plus qu'il y avait des abus de pouvoir.
Il y avait aussi les camps des ''Xuri ''et des ''Gorri. ''
'''II. 209. QUELLES SONT LES CONTIDIONS QUE L'ON ÉTABLIT PAR RAPPORT AUX PERSONNES ET PAR RAPPORT AUX BIENS? '''
Le contrat était passé avant le mariage mais le nouveau venu ne commandait pas dans la maison, du jour au lendemain. Le pouvoir changeait de main petit á petit mais ca ne faisait guére dans de bonnes conditions. Il y avait toujours des histoires, des fácheries. Maintenant c'est autre chose les jeunes construisent á cóté par exemple et vivent sépa- rément séparément ou louent une maison au village. Ces coha- bitations cohabitations ne se faisaient pas bien. De nos jours, en plus, les jeunes font 1'école d'agriculture; ce n'est plus du tout comme avant. Autrefois le pouvoir du patriarche était absolu, les jeunes souffraient.
On n'était pas tenu de loger un vieil oncle ou une tante dans la maison familiale. On le faisait parfoís. On connait le cas: les jeunes vivent en bas et les vieux en haut. Ils cohabitent le midi pour manger ensemble; le soir ils se contentent d'un bol de soupe, du lait, ou des chátaignes, etc. qu'ils pré- parent préparent eux-mémes, sans l'aide des jeunes.
Les biens d'une maison doivent étre transmis dans leur totalité. Pour cela les parents étaient préts á tous les sacrifices. Le maitre de maison en disposait á sa guise cependant, sauf si c'était la femme qui était héritiére. C'est lui qui en demeu- rait demeurait le chef jusqu'á sa mort et passait le relais au jeune maitre une fois les "arrangements" établis avant mariage, car il n'y avait jamais de testament. C'est ainsi que les parents étaient les patrons et les jeunes qui s'installaient étaient comme des domestiques; ils en souffraient beaucoup. Ils n'avaient pleine jouissance de leurs biens qu'á la mort des vieux maitres ou quand ces derniers ne pouvaient plus gérer.
L'ainé héritait d'office. Il n'y avait pas de contes- tationcontestation.
Les biens d'un oncle ou d'une tante, sans enfant, étaient mis aux enchéres.
Autrefois (avant la premiére guerre) il y avait des usuriers. Ils prétaient de l'argent, on n'allait pas devant le notaire. On avait aussi de l'argent gráce aux personnes parties en Amérique; les émigrés envoyaient de l'argent.
On ne pouvait pas disposer de la maison. II fallait la transmettre avec les meubles et tout. Les ''etxeko nausi ''savaient combien "valait" leur bien; les hom- mes hommes seuls évaluaient. Ces vieux calculaient bien; ils savaient combien ils avaient de terre, de bétes, etc... et ils savaient aussi les biens de leurs voisins.
On pouvait faire des dotations, c'était courant quand un jeune se mariait on pouvait lui donner des tétes de bétail.
En ce qui concerne la dot, le "patriarche" payait á 1'autre "patriarche" la dot de son enfant en tétes de bétail ou en argent. S'il n'y avait pas d'argent, les deux hommes discutaient de la superficie de terrain pouvant remplacer la somme due. Des que cette derniére était rassemblée, alors on devait res- tituer restituer la parcelle de terre considérée.
'''II. 219. ORGANISE-T-ON DES CORTÉGES OU DES SUITES QUI ACCOMPAGNENT LES MARIÉS LORSQUE CES DERNIERS SE RENDENT Á LA CÉREMONIE DU MARIAGE? OÚ SE RÉUNISSENT CES SUITES? '''
Cortége: de la maison de la mariée, si c'est 1'hé- ritiérehéritiére, (sinon on se marie toujours lá oú est la mai- sonmaison) á l'église. Les cortéges se faisaient classique- ment classiquement dans les années 1950. En téte la mariée avec son pére (ou son parrain si la fille est orpheline), en fin de cortége, le marié avec sa mere.
L'emplacement est strict dans le cortége, les places étaient définiés avant le départ: tel garcon avec telle filie, etc., autant que possible on met le cavalier avec la jeune filie qui pourrait faire la future mariée...
'''II. 224. Y A-T-IL COUTUME D'AVOIR UNE CHARRETTE DE MARIAGE? QUELS OBJETS Y A-T-IL DANS CELLE-CI? COMMENT SONT DÉCORÉS LA CHARRETTE ET LES BOEUFS OU LES VACHES QUI LA TIRENT? QUI GUIDE LA CHARRETTE? COMMENT S'APPELLE L'ORNEMENT? Y A-T-IL DES ANIMAUX QUI FONT PAR TIE DE CELUI-CI? QUI APPORTE DES CADEAUX ET QUELS CADEAUX? '''
''Presentak: ''8 á 10 jours avant la cérémonie on ame- nait amenait les cadeaux en charrette, á la maison. C'était un jour sur semaine. On faisait alors un repas pour ce ''present-eguna, ''c'est ''presentako bazkaria. ''Il n'y a, á cette occasion, que la maitresse de maison et ses invités. Les futurs mariés venaient parfois, pour le dessert par exemple. Cette pratique ne se faisait que dans les grandes maisons. A cette occasion, venaient les femmes, surtout si elles ne venaient pas au mariage; c'est une affaire ''d'etxekandere. ''
La chambre future est cirée; il y a lá les meubles neufs faits par le menuisier du village. La coutu- riére couturiére a bien rangé le trousseau dans l'armoire qui reste ouverte; certaine femmes (visiteuses) poussaient méme les piles de finge pour s'assurer qu'il y en avait bien sur deux rangs. Tous les présents sont installés sur la table. La vieille ''etxekandere ''les montre et annonce: telle maison a donné ceci, telle maison cela, etc.
'''II. 226. ANNONCE-T-ON AUX ANIMAUX DOMESTIQUES LE MARIAGE DE L'HÉRITIER DE LA MAISON? QUI RÉALISE CETTE ANNONCE? COMMENT? '''
Bien avant le mariage, les péres se réunissaient dans la future maison. Aprés avoir pris un bon casse-croúte, il visitaient les lieux (étable, porche- rieporcherie.. ).
'''II. 227. Y A-T-IL UNE CÉRÉMONIE SIMULANT LA VENTE, L'ENLÉVEMENT OU LA DISPUTE ENTRE BANDES PAR RAPPORT Á LA MARIÉE? '''
Lorsqu'un étranger au village venait voir sa futu- re future fiancée, il était accueilli á coups de cailloux ou de báton. Il ne s'aventurait pas seul!
Le repas de mariage ressemble á celui de l'enterrement, c'est une grande féte, mais on n'invite pas aussi loin dans la parenté pour un mariage. Les voisins sont toujours invités sans exception et on prend une "cuisiniére" (femme habituée á faire des repas pour beaucoup de gens); les voisins sont pris dans le voisinage au sens large (pour la mort on n'invite que ''lehen auzoak). ''
En principe le repas a lieu le samedi, avec la céré- moniecérémonie. Le jeudi a lieu ''present-eguna: ''viennent ceux qui sont invités ce jour lá et qui peuvent aussi venir au mariage (ce qui n'est pas obligatoire). On leur offre un repas, dans la maison. Le vendredi, les voi- sins voisins viennent aider; en fait, les femmes viennent aider la cuisiniére.
Le jour du mariage en plus ''d' etxeko bixkotxa, ''une personne faisait ''katalan broxa. ''
'''II. 232. COMBIEN DE TEMPS DURENT LES FESTIVITÉS DE LA NOCE? '''
Il y avait ainsi deux jours de féte. Pas "voyage de noces". Dans les grandes maisons, le second jour il y avait un repas servi par la mariée, son époux ser- vait servait le vin.
Prenaient part á ce repas: les premiers voisins ainsi que la parenté, avec les cuisiniéres.
'''II. 237. COMMENT SONT JUGÉES ET TRAITÉES LES UNIONS LIBRES? DURÉE ET EFFETS DE CES DERNIÉRES. SITUATION DES ENFANTS NATURELS ET DE LEUR MÉRE. '''
Il y a eu des enfants naturels, C'était la honte pour la filie surtout pour la famille un peu mais pas pour la maison ou le village. Il y avait une maison dans un village avec cinq enfants dont trois filies. L'une des trois est tombée enceinte d'un garcon que l'on dit ''xoila ''c'est á dire d'une maison trés modeste dont les parents n'étaient pas du méme "rang" que ce patriarche, pére des filles. On ne vou- lait voulait pas que la filie sorte avec ce garcon, mais elle finit par tomber enceinte. Le pére la mit á la porte de la maison. Le jour elle se cachait dans la forét á cóté du village; le midi et le soir, en accord avec la mére, une soeur apportait en cachette du pére, le repas, pour qu'elle vienne le manger dans la mai- son maison X... Alors quand le "fiancé" vit cela, il partit en Amérique et lui envoya de I'argent pour qu'elle le rejoigne. Elle partit et sa filie naquit lá bas. Mais elle vécut bien trois mois á l'abandon. Sa mére était tres malheureuse et le pére se moquait bien de ce qui pouvait lui arriver. Ceci est un cas extréme, mais en regle genérale on mettait la filie dehors. On ne cherchait pas a priori á retrouver le garcon pour "s'arranger". Ou alors la décennie aprés on les mariait de force. Mais souvent la filie était décue dés le premier jour du mariage et passait une vie triste. Ainsi cette filie de Béhorleguy mariée de force; le docteur qui les accouchait disait un jour: "ah les filies de la maison X..., elles sont belles comme le jour; elles se marient avec des hommes qu'elles n'aiment pas; elles sont décues le premier soir de leur mariage et aprés, elles flétrissent comme une rose". Des filles coquettes, elles vivaient terrées dans les maisons. Si les familles riches tendaient á mettre les filles á la porte, les maisons pauvres étaient bien plus conciliantes, elles savaient accepter.
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