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'''II. 201. CÉLIBAT. SES RAISONS ET SA FRÉQUENCE POUR CHAQUE SEXE (STATISTI- QUES). SORT ET MODE DE VIE DES VIEILLES FILLES. LES VIEUX GARGONS, FONT-ILS L'OB- JET DE MOQUERIES? CROIT-ON QUE LE MARIAGE ET LA PROCRÉATION SONT OBLI- GATOIRESOBLIGATOIRES? '''
Il y avait des célibataires, souvent des cadets; autant de filies que de garwns. L'ainé restait á la maison, le second était automatiquement curé ou bonne-soeur; combien revenaient ainsi du séminai- re sans vouloir continuer... L'enfant destiné aux ordres pouvait peser (financiérement) sur de peti- tes maisons; on acceptait cela de bon coeur, c'était "pour le Bon Dieu".
'''II. 202. LES JEUNES HOMMES, RENDENT-ILS VISITE AUX JEUNES FILLES CÉLIBATAIRES PENDANT LA NUIT? A CETTE OCCASION, PRONONCE-T-ON DES FORMULES SPÉCIALES OU ENTONNE-T-ON DES CHANSONS DÉTER- MINÉESDÉTERMINÉES? CES VISITES, QUEL JOUR DE LA SEMAINE ONT-ELLES LIEU?
On racontait des histoires de famille ou autres.
'''II. 207. QUELS SONT LES RAPPORTS DES FIANCÉS AVEC LES AUTRES CÉLIBATAIRES? LES JEUNES HOMMES IMPOSENT-ILS UN TRI- BUT TRIBUT AU FIANCÉ ÉTRANGER? '''
Le fait d'étre fiancé ne modifiait en rien son comportement vis á vis des autres célibataires.
'''II. 209. QUELLES SONT LES CONTIDIONS QUE L'ON ÉTABLIT PAR RAPPORT AUX PER SONNES PERSONNES ET PAR RAPPORT AUX BIENS? '''
Le contrat était passé avant le mariage mais le nouveau venu ne commandait pas dans la maison, du jour au lendemain. Le pouvoir changeait de main petit á petit mais ca ne faisait guére dans de bonnes conditions. Il y avait toujours des histoires, des fácheries. Maintenant c'est autre chose les jeunes construisent á cóté par exemple et vivent sépa- rément ou louent une maison au village. Ces coha- bitations ne se faisaient pas bien. De nos jours, en plus, les jeunes font 1'école d'agriculture; ce n'est plus du tout comme avant. Autrefois le pouvoir du patriarche était absolu, les jeunes souffraient.
'''II. 213. EST-CE UNE COUTUME QUE LES FIANCÉS OFFRENT DES VÉTEMENTS OU D'AUTRES OBJETS AUX PARENTS DE LEUR FUTUR ENCUESTAS ETNOGRAFICAS DE CAMPO CONJOINT? EN QUOI CONSISTENT CES CA DEAUXCADEAUX? '''
Il n'y avait aucun cadeau entre fiancés, ni entre époux. C'était leur premier enfant qui était leur cadeau.
Les parents et les enfants décidaient des invités. La liste était faite d'un commun accord, avec les parents. Les invitations se faisaient de vive voix (marchés, etc.) tant par les parents que par les jeunes.
 
'''II. 219. ORGANISE-T-ON DES CORTÉGES OU DES SUITES QUI ACCOMPAGNENT LES MARIÉS LORSQUE CES DERNIERS SE RENDENT Á LA CÉREMONIE DU MARIAGE? OÚ SE RÉUNISSENT CES SUITES? '''
'''II. 223. CONDUITE DU CONJOINT ADVENTICE AU DOMICILE CONJUGAL. QUI L'ACCOM- PAGNEACCOMPAGNE? DANS QUEL ORDRE VONT-ILS? '''
Aprés la messe on allait á la maison en cortége. S'il y avait un appéritif, on allait á l'auberge et on en repartait tous. Mais souvent l'appéritif reprenait dans la maison.
'''II. 224. YA Y A-T-IL COUTUME D'AVOIR UNE CHARRE 1'1'1: CHARRETTE DE MARIAGE? QUELS OBJETS Y A -T-IL DANS CELLE-CI? COMMENT SONT DÉCORÉS LA CHARRETTE ET LES BOEUFS OU LES VACHES QUI LA TIRENT? QUI GUIDE LA CHARRETTE? COMMENT S'APPELLE L'ORNEMENT? YA Y A-T--IL DES ANIMAUX QUI FONT PAR TIE DE CELUI-CI? QUI APPORTE DES CA- DEAUX CADEAUX ET QUELS CADEAUX? '''
''Presentak: ''8 á 10 jours avant la cérémonie on ame- nait les cadeaux en charrette, á la maison. C'était un jour sur semaine. On faisait alors un repas pour ce ''present-eguna, ''c'est ''presentako bazkaria. ''Il n'y a, á cette occasion, que la maitresse de maison et ses invités. Les futurs mariés venaient parfois, pour le dessert par exemple. Cette pratique ne se faisait que dans les grandes maisons. A cette occasion, venaient les femmes, surtout si elles ne venaient pas au mariage; c'est une affaire ''d'etxekandere. ''
'''II. 229. UNE PRATIQUE RITUELLE A-T-ELLE LIEU PENDANT LE BANQUET DE NOCE? OÚ A LIEU CELUI-CI? QUEL EST L'ORDRE DES PLATS? DANS QUEL ORDRE SONT PLACES LES CONVIVES? LES MARIÉS, DOTVENT-DOIVENT-ILS SE TENIR PENDANT LE REPAS Á DES PRESCRIP- TIONS PRESCRIPTIONS DETERMINÉES? '''
Le repas était long, comme de nos jours, une demi-journée (actuellement on tend á le faire le soir, au restaurant). On se mettait á table á 1h 30 et on en sortait ver 5 h. On dansait entre les plats, on chantait... Le charpentier faisait le service du vin.
'''II. 236. SÉPARATION D'ÉPOUX EN MAUVAIS TERMES. CE FAIT, EST-IL FRÉQUENT? DIVOR CEDIVORCE; SA FRÉQUENCE ET SES MOTIFS. CONCU- BINAGE CONCUBINAGE DE PERSONNES DIVORCIÉES.'''
Les séparations étaient rares, c'était une honte! On a connu des cas, le mari partait alors en Amérique.
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