Cambios

Saltar a: navegación, buscar

Cencerradas tzintzarrotsak galarrosak

1 byte eliminado, 11:03 10 jun 2019
sin resumen de edición
"En 1916 j'ai participé deux fois à un charivari. A la suite d'une sombre histoire un homme est parti en Amérique, la femme restée au pays fréquentait un homme qui venait la voir de nuit: gros scandale! Quelqu'un a lancé l'idée du charivari; les jeunes n'attendaient que cela.
Le village est dans une vallée étroite et le charivari avait lieu dans le village voisin. Le tintamarre eut lieu de nuit; la montagne d'en face reve,rbérait reverbérait tout le chahut! On était qua- tre quatre du village (19, 15, 16 ans) et un grand de 25 ans. On rejoint les jeunes de l'autre village, en bordure du bois. Il y avait là tout un arsenal de cloches et de clochettes, de brebis, de vaches. Elles étaient attachées entre des arbres avec de la corde á à linge. Il y avait aussi beaucoup de vieilles casserolles fixées de la méme faconmême façon. On avait des cors en bois pour chasser les corbeaux (les chasses du maismaïs); on avait aussi des sortes de caisses montées avec des cordes cirées, en les frottant avec les mains elles vibraient (vaououou); on dispo- sait disposait aussi de porte-voix artisanaux avec les- quels lesquels on hurlait des couplets peu aimables. Il y eut beaucoup de bruit de 10 heures á à minuit. Tous les villages écoutaient. Tout le monde rigolait!
Il y avait aussi ''berdura: ''trainée : traînée de verdure faite de feuilles dans la nuit du samedi au dimanche. La trainée traînée reliait les maisons des deux sujets... En allant á à la messe tout le monde voyait ''berdura. ''.
En principe le veuf payait de bonne grácegrâce, avant toute manifestation. C'est que me disait mon pére père dans ma jeunesse. Mais il y eut un veuf qui ne voulait rien savoir et qui tira des coups de feu sur le charivari qui c'était trop approché de sa maison. Les jeunes répliqué- rentrépliquèrent: le dimanche suivant, ils formérent formèrent une bande á à la sortie de la messe, montés sur des ánesânes, mais á à l'envers. Ils lui ont fait un cortége cortège jusqu'á à chez lui."
(El año 1916 yo participé dos veces en un charivari. A raíz de una historia oscura un hombre marchó a América; su mujer que quedó en el pueblo se relacionaba con un hombre que le visitaba de noche. Estalló el escándalo y alguien lanzó la idea de hacer un charivari; los jóvenes no esperaban otra cosa.
 
 
 
 
 
 
El pueblo está en un valle estrecho y la cencerrada se dió en la localidad vecina. El concierto tuvo lugar de noche y en la montaña de enfrente rebotaba todo el jaleo. Eramos cuatro de 19, 15 y 16 años y uno mayor de 25. Se unieron a nosotros los jóvenes del pueblo veci- no en el lindero del bosque. Allí había todo un arsenal de cencerros y esquilas de ovejas y de vacas que fueron atadas entre los árboles con cuerda de tender la ropa. Había también muchas cazuelas viejas que se ataron de la misma manera así como cuernos de madera de los que se utilizan para la caza de cuervos (cazas de maíz). Había además una especie de cajas montadas con cuerdas enceradas, que frotadas con la mano producían vibración; contaban también con altavoces artesanales con los que vociferaban coplas poco amables. Hicieron mucho ruido desde las 10 hasta la medianoche. Se oyó la cencerrada en los barrios del entorno y todo el mundo se divirtió.
127 728
ediciones