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En torno al grupo o pandilla se va a desarrollar una verdadera micro-sociedad con toda la complejidad y riqueza de matices que cabe imaginar.
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Por de pronto cada grupo infantil en particular y todos ellos en general, tienen normas de convivencia rígidas y aún tajantes. Determinados individuos, sobre todo con sus proezas físicas o con sus habilidades, conquistan un liderazgo que es aceptado por todos. Para ingresar en el grupo hay que cumplir determinados requisitos y una vez que se forma parte de él se comparten secretos inviolables. La fidelidad es elemento de máxima importancia y su quebranto es causa de expulsión o ruptura del grupo.
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Se establecen lugares de reunión y la aspiración máxima de una pandilla será la construcción o habilitación de la ''txabola ''como sede permanente de encuentros, lugar de confidencias y refugio los días de mal tiempo.
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Inevitablemente la sociedad infantil tradicional se articula en grupos diferenciados por sexos. En esta diferenciación de grupos caben matices. En la mayoría de los pueblos rurales la separación suele ser rígida. Si un chico juega con chicas será menospreciado y considerado como afeminado, ''marichica, ''y a la inversa, la niña que opta por juegos de los niños es considerada ''marimutil ''en el área euskaldun y ''marichico ''o ''marimacho ''en la mayor parte del territorio castellanoparlan te.
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En las villas y núcleos urbanos caben más a menudo determinados juegos mixtos de chicos ''y ''chicas. Pero aún en estos centros hay algunas actividades que están vedadas para el otro sexo.
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En cualquier caso los niños optan por juegos cuya característica predominante es la manifestación de la fuerza en forma de saltos, carreras, persecución, lanzamientos y luchas, mientras las niñas desarrollarán sobre todo juegos más sedentarios donde se prima la habilidad en la manipulación de objetos con las manos (tabas) o con los pies (''Truquemé''), amén de otros juegos de movimientos rítmicos o de representaciones, así como de lenguaje.
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La sociedad infantil, al igual que la de los adultos, es por tanto un cuerpo organizado. Entre sus actividades ocupan un lugar destacado fórmulas rituales como las que se recogen seguidamente.
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Vers les six ou sept ans, l'enfant commence à se détacher de la protection materno-familiale, jusqu'à alors permanente. Dans son monde intérieur, un changement s'opère avec l'apparition des premiers traits de la pensée logique, autrefois couramment connue comme « âge de raison », avec ses multiples manifestations. Le monde fantastique laisse place à une perception plus réaliste et l'enfant est capable d'établir des relations entre différentes idées et de formuler des catégories. En parallèle se développe la conscience qu'il ne se suffit pas pour répondre aux besoins qu'il éprouve et, instinctivement, il tend à s'intégrer dans un groupe avec des garçons ou des filles du même âge.
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L'enfant participe à la création de la société enfantine. Cette socialisation trouve son expression maximale dans le groupe d'amis qui durera jusqu'au seuil de la puberté.
=== [[Intercambios._Trukez_truk|Intercambios. Trukez truk]] ===
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=== [[Hallazgos._Gauzak_aurkitu|Hallazgos. Gauzak aurkitu]] ===
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Autour du groupe ou de la bande va se développer une véritable microsociété avec toute la complexité et la richesse de nuances imaginables.
=== [[Juramentos_infantiles._Benetako_egiak|Juramentos infantiles. Benetako egiak]] ===
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=== [[Ruptura_y_restablecimiento_de_la_amistad._Hasarreak_eta_konpontzeak|Ruptura y restablecimiento de la amistad. Hasarreak eta konpontzeak]] ===
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D'emblée, chaque groupe d'enfants particulier et tous en général ont des règles de coexistence rigides, voire inexorables. Certains individus, surtout grâce à leurs prouesses physiques ou à leurs habiletés, s'imposent à la tête du groupe avec l'assentiment de tous. Pour entrer dans le groupe, il faut remplir certaines conditions et, une fois qu'on en est membre, des secrets inviolables sont partagés. La fidélité est un élément essentiel et tout manquement peut être un motif d'expulsion ou de rupture du groupe.
=== [[La_aceptacion_de_las_normas._Arauak|La aceptación de las normas. Arauak]] ===
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=== [[Formulas_infantiles._Haurren_esaldiak|Fórmulas infantiles. Haurren esaldiak]] ===
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Des lieux de réunion sont mis en place et l'aspiration suprême d'une bande va être la construction ou l'aménagement de la ''txabola'' comme siège permanent des rencontres, lieu de confidences et de refuge les jours de mauvais temps.
=== [[La_prevencion_de_la_integridad_corporal|La prevención de la integridad corporal]] ===
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Inévitablement, la société enfantine traditionnelle s'articule en groupes différenciés par sexes. Cette différenciation des groupes admet quelques nuances. Dans la plupart des villages, la séparation est habituellement rigide. Si un garçon joue avec des filles, il sera méprisé et considéré efféminé, ''marichica'' et, à l'inverse, la fille qui préfère les jeux des garçons est appelée ''marimutil'' dans la zone bascophone et ''marichico'' ou ''marimacho'' dans la plus grande partie du territoire castillanophone.
{{DISPLAYTITLE: III. TRATOS NORMAS Y FORMULAS INFANTILES}} {{#bookTitle:Juegos Infantiles en Vasconia | Juegos_infantiles_en_vasconia}}
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Dans les villes et les noyaux urbanisés certains jeux mixtes de garçons et filles sont possibles. Mais même dans ce cas, il existe certaines activités qui sont interdites à l'autre sexe. En tout état de cause, les garçons optent pour des jeux dont la caractéristique prédominante est la manifestation de la force sous forme de sauts, de course, de poursuites, de lancers et de luttes, tandis que les filles développent surtout des jeux plus sédentaires dans lesquels prime l'habileté dans la manipulation d'objets avec les mains (osselets) ou avec les pieds (''Truquemé''), outre d'autres jeux de mouvements rythmiques ou de représentations, ainsi que de langage.
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La société enfantine, à l'instar de celle des adultes, constitue donc un corps organisé. Parmi ses activités, les formules rituelles, comme celle recueillies ci-dessous, occupent une place importante.
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== Échanges. Trukez truk ==
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Si un enfant reçoit d'un autre un objet qui, au bout d'un certain temps, lui est réclamé, il réplique en récitant une formule, dont la version la plus brève et la plus répandue a été recueillie à Pipaón (A), Barakaldo, Durango, Getxo, Trapagaran (B) et Sangüesa (N); cette formule est la suivante :
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:''Santa Rita, Rita,''
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:''lo que se da no se quita.''
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== Trouvailles. Gauzak aurkitu ==
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Quand un enfant trouve un objet et pense qu'il appartient à l'un de ses camarades, il annonce à voix haute la trouvaille sans préciser de quoi il s'agit. La formule utilisée pour cette annonce, recueillie avec de légères variantes à Apellániz, Salvatierra (A), Durango, Getxo, Trapagaran (B), Allo, Artajona et Tudela (N) est celle-ci :
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:''Una cosa me he encontrado cuatro veces lo diré''
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:''si no aparece el dueño para mí me la quedaré.''
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En entendant cette annonce, les membres du groupe fouillent leurs poches pour vérifier si l'objet trouvé leur appartient. S'il ne manque à personne, celui qui l'a trouvé le garde et, au bout de quatre ou cinq annonces, il ne peut plus être réclamé.
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== Rupture et rétablissement de l'amitié. Hasarreak eta konpontzeak ==
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La rupture de l'amitié entre enfants fait aussi l'objet d'une certaine ritualisation.
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Quand un enfant de Bermeo (B) se fâche avec un autre, pour rompre la relation, il lui dit «''Urrun da fitx''» (littéralement « loin et c'est fini »). Ceci équivaut à l'expression castillane « Cruz y raya ». Après ces mots, il crache par terre et écrase la salive avec le pied. Parfois, l'autre enfant lui répond «''Betiko ta betiko''», qui peut se traduire par « por siempre y para siempre » (à jamais).
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Puis, les deux se tournent le dos et chacun s'en va de son côté.
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== L'acceptation des règles. Arauak ==
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Pendant l'enfance, l'enfant apprend surtout à se conduire selon certaines règles. Les jeux commencent généralement par un tirage au sort par lequel sont répartis les rôles ou l'ordre de participation est mis en place. La première leçon à apprendre est qu'il faut accepter le résultat du tirage au sort.
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De plus, les jeux sont règlementés. Leurs règles peuvent être d'une grande complexité et prévoient toutes les situations possibles.
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Ces règles sont acceptées par tous. Des variantes, décidées en groupe et qui n'affectent habituellement pas le noyau du jeu, peuvent être introduites. Certaines de ces variantes peuvent devenir permanentes au sein du groupe ou du lieu et seront transmises à la génération suivante. De là naissent les différences que pour un même jeu nous pouvons observer d'un quartier à un autre, d'un village à un autre ou d'une zone à l'autre.
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Les jeux avec des règles sont LE jeu par excellence dans le monde enfantin. Ils engagent toutes les ressources de la personnalité et se servent des objets les plus variés pour être exécutés. La gamme des instruments utilisable va des plus rudimentaires, comme une écorce d'orange, aux plus élaborés comme un ''iturri''. Parfois aussi aucun instrument n'est nécessaire. Il existe des jeux pour les grands espaces ou pour les espaces réduits, pour le beau temps et pour les jours de pluie. Certains relèvent de l'habileté, d'autres de la force. D'autres réunissent les deux qualités. Il y en a de hasard, de langage, rituels et magiques, de devinettes, de cache-cache et intellectuels.
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Les jeux d'enfant ont leurs règles bien définies qui sont conservées dans la mémoire de l'enfant et qui sont transmises oralement.
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Communément, quand l'un des participants croit qu'une de ces règles a été violée, il montre son désaccord en criant : «arrenuncio».
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== Formules enfantines. Haurren esaldiak ==
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Ordinairement, l'enfant dès ses premières années montre sa tendance à la sociabilité et, dans la fréquentation des camarades et des amis, se nouent des relations de la nature la plus variée. Certaines sont liées aux jeux, mais la plupart concernent toutes les facettes de la coexistence.
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Naturellement, la palette de traitements est très large. Leur structure peut être élémentaire, simple ou complexe ; mais, solennels ou railleurs, ils revêtent presque toujours un aspect quasiment liturgique qui se traduit par une petite formule rituelle.
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{{DISPLAYTITLE: III. TRAITEMENTS, RÈGLES ET FORMULES ENFANTINES}} {{#bookTitle:Jeux d'Enfants au Pays Basque|Juegos_infantiles_en_vasconia/fr}}

Revisión actual del 10:42 16 jul 2019

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Vers les six ou sept ans, l'enfant commence à se détacher de la protection materno-familiale, jusqu'à alors permanente. Dans son monde intérieur, un changement s'opère avec l'apparition des premiers traits de la pensée logique, autrefois couramment connue comme « âge de raison », avec ses multiples manifestations. Le monde fantastique laisse place à une perception plus réaliste et l'enfant est capable d'établir des relations entre différentes idées et de formuler des catégories. En parallèle se développe la conscience qu'il ne se suffit pas pour répondre aux besoins qu'il éprouve et, instinctivement, il tend à s'intégrer dans un groupe avec des garçons ou des filles du même âge.

L'enfant participe à la création de la société enfantine. Cette socialisation trouve son expression maximale dans le groupe d'amis qui durera jusqu'au seuil de la puberté.

Autour du groupe ou de la bande va se développer une véritable microsociété avec toute la complexité et la richesse de nuances imaginables.

D'emblée, chaque groupe d'enfants particulier et tous en général ont des règles de coexistence rigides, voire inexorables. Certains individus, surtout grâce à leurs prouesses physiques ou à leurs habiletés, s'imposent à la tête du groupe avec l'assentiment de tous. Pour entrer dans le groupe, il faut remplir certaines conditions et, une fois qu'on en est membre, des secrets inviolables sont partagés. La fidélité est un élément essentiel et tout manquement peut être un motif d'expulsion ou de rupture du groupe.

Des lieux de réunion sont mis en place et l'aspiration suprême d'une bande va être la construction ou l'aménagement de la txabola comme siège permanent des rencontres, lieu de confidences et de refuge les jours de mauvais temps.

Inévitablement, la société enfantine traditionnelle s'articule en groupes différenciés par sexes. Cette différenciation des groupes admet quelques nuances. Dans la plupart des villages, la séparation est habituellement rigide. Si un garçon joue avec des filles, il sera méprisé et considéré efféminé, marichica et, à l'inverse, la fille qui préfère les jeux des garçons est appelée marimutil dans la zone bascophone et marichico ou marimacho dans la plus grande partie du territoire castillanophone.

Dans les villes et les noyaux urbanisés certains jeux mixtes de garçons et filles sont possibles. Mais même dans ce cas, il existe certaines activités qui sont interdites à l'autre sexe. En tout état de cause, les garçons optent pour des jeux dont la caractéristique prédominante est la manifestation de la force sous forme de sauts, de course, de poursuites, de lancers et de luttes, tandis que les filles développent surtout des jeux plus sédentaires dans lesquels prime l'habileté dans la manipulation d'objets avec les mains (osselets) ou avec les pieds (Truquemé), outre d'autres jeux de mouvements rythmiques ou de représentations, ainsi que de langage.

La société enfantine, à l'instar de celle des adultes, constitue donc un corps organisé. Parmi ses activités, les formules rituelles, comme celle recueillies ci-dessous, occupent une place importante.

Échanges. Trukez truk

Si un enfant reçoit d'un autre un objet qui, au bout d'un certain temps, lui est réclamé, il réplique en récitant une formule, dont la version la plus brève et la plus répandue a été recueillie à Pipaón (A), Barakaldo, Durango, Getxo, Trapagaran (B) et Sangüesa (N); cette formule est la suivante :

Santa Rita, Rita,
lo que se da no se quita.

Trouvailles. Gauzak aurkitu

Quand un enfant trouve un objet et pense qu'il appartient à l'un de ses camarades, il annonce à voix haute la trouvaille sans préciser de quoi il s'agit. La formule utilisée pour cette annonce, recueillie avec de légères variantes à Apellániz, Salvatierra (A), Durango, Getxo, Trapagaran (B), Allo, Artajona et Tudela (N) est celle-ci :

Una cosa me he encontrado cuatro veces lo diré
si no aparece el dueño para mí me la quedaré.

En entendant cette annonce, les membres du groupe fouillent leurs poches pour vérifier si l'objet trouvé leur appartient. S'il ne manque à personne, celui qui l'a trouvé le garde et, au bout de quatre ou cinq annonces, il ne peut plus être réclamé.

Rupture et rétablissement de l'amitié. Hasarreak eta konpontzeak

La rupture de l'amitié entre enfants fait aussi l'objet d'une certaine ritualisation.

Quand un enfant de Bermeo (B) se fâche avec un autre, pour rompre la relation, il lui dit «Urrun da fitx» (littéralement « loin et c'est fini »). Ceci équivaut à l'expression castillane « Cruz y raya ». Après ces mots, il crache par terre et écrase la salive avec le pied. Parfois, l'autre enfant lui répond «Betiko ta betiko», qui peut se traduire par « por siempre y para siempre » (à jamais).

Puis, les deux se tournent le dos et chacun s'en va de son côté.

L'acceptation des règles. Arauak

Pendant l'enfance, l'enfant apprend surtout à se conduire selon certaines règles. Les jeux commencent généralement par un tirage au sort par lequel sont répartis les rôles ou l'ordre de participation est mis en place. La première leçon à apprendre est qu'il faut accepter le résultat du tirage au sort.

De plus, les jeux sont règlementés. Leurs règles peuvent être d'une grande complexité et prévoient toutes les situations possibles.

Ces règles sont acceptées par tous. Des variantes, décidées en groupe et qui n'affectent habituellement pas le noyau du jeu, peuvent être introduites. Certaines de ces variantes peuvent devenir permanentes au sein du groupe ou du lieu et seront transmises à la génération suivante. De là naissent les différences que pour un même jeu nous pouvons observer d'un quartier à un autre, d'un village à un autre ou d'une zone à l'autre.

Les jeux avec des règles sont LE jeu par excellence dans le monde enfantin. Ils engagent toutes les ressources de la personnalité et se servent des objets les plus variés pour être exécutés. La gamme des instruments utilisable va des plus rudimentaires, comme une écorce d'orange, aux plus élaborés comme un iturri. Parfois aussi aucun instrument n'est nécessaire. Il existe des jeux pour les grands espaces ou pour les espaces réduits, pour le beau temps et pour les jours de pluie. Certains relèvent de l'habileté, d'autres de la force. D'autres réunissent les deux qualités. Il y en a de hasard, de langage, rituels et magiques, de devinettes, de cache-cache et intellectuels.

Les jeux d'enfant ont leurs règles bien définies qui sont conservées dans la mémoire de l'enfant et qui sont transmises oralement.

Communément, quand l'un des participants croit qu'une de ces règles a été violée, il montre son désaccord en criant : «arrenuncio».

Formules enfantines. Haurren esaldiak

Ordinairement, l'enfant dès ses premières années montre sa tendance à la sociabilité et, dans la fréquentation des camarades et des amis, se nouent des relations de la nature la plus variée. Certaines sont liées aux jeux, mais la plupart concernent toutes les facettes de la coexistence.

Naturellement, la palette de traitements est très large. Leur structure peut être élémentaire, simple ou complexe ; mais, solennels ou railleurs, ils revêtent presque toujours un aspect quasiment liturgique qui se traduit par une petite formule rituelle.